Année2024-Homélie pour le 1er dimanche de l’Avent (JGA).

1er dimanche de l'avent

L’Avent.
Ce temps de l’Avent nous demande un sursaut, un nouvel élan spirituel, il nous invite à redynamiser nos résolutions et revivifier nos engagements. Quels sont mes engagements? Quelles sont mes résolutions?
____________________________________________

Inexorablement, le temps s’écoule et nous entraîne dans ses flots continus qui ne marquent jamais la moindre pause : les jours succèdent aux jours, les semaines aux semaines, les mois aux mois, les années aux années, et nous sommes emportés. Inexorablement.
Nous venons de passer le dernier dimanche de l’année liturgique, dimanche annonciateur de la fin des temps, et aujourd’hui, premier dimanche de l’Avent, nous commencerons une nouvelle année de grâces, une nouvelle année, je vous le souhaite, de croissance spirituelle et de progression surnaturelle, en suivant les pas de Notre-Seigneur Jésus-Christ, de Notre-Dame et de tous les saints.

Nous rentrons dans le temps de l’Avent. Adventus Domini; c’est l’avènement, la venue, la visite du Seigneur. Jésus est le Roi, entré dans cette pauvre “province” appelée terre pour rendre visite à tous; à la fête de son avent, il fait participer tous ceux qui croient en Lui. Dieu est ici, il ne s’est pas retiré du monde, il ne nous a pas laissés seuls. Nous commençons aujourd’hui à préparer la fête de Noël, car à Noël nous fêtons une seule chose: la Naissance de Jésus.

Ce que nous fêtons, c’est un Dieu qui se dérange, qui dérange. Il dérange non seulement ceux qui le refusent, mais encore ceux qui le reçoivent. Touchante coïncidence, le Sauveur vient comme un enfant, sous les traits d’un enfant. Dans bien des familles, la venue d’un enfant est attendue ou pas. Elle occasionne de la joie et aussi un certain dérangement! Et pourtant il est accueilli, aimé, reçu. L’Avent est un dérangement. Car Dieu dérange ceux qu’Il aime. Tous ceux qui prennent au sérieux la vie spirituelle le savent, depuis la sainte Vierge et saint Joseph. En quelques mois; bousculade des fiançailles, de l’agenda, du domicile, du confort, de la sécurité même. En tout cela; grande joie, grande paix de la présence de Dieu, de l’approche du salut. Confiance, abandon à Dieu. Disponibilité intérieure à Dieu qui vient. Dieu dérange ceux qu’Il aime pour arranger toute chose en vue de notre salut.

Notre manie de vouloir tout maîtriser s’écrase de plein fouet contre cette invitation de l’Enfant Jésus qui demande la permission pour pouvoir entrer dans notre cœur, qui veut être accueilli. La tristesse du monde vient de ce que Dieu ne le dérange plus. Nous pouvons expérimenter la joie de l’Avent à condition de connaitre cette venue de Dieu, consentir au dérangement qu’elle apporte. Quand on s’occupe de Dieu, ça arrange bien les affaires des hommes, résume sainte Bernadette. « Est-ce que je vous dérange?» dit Dieu à nos âmes durant l’Avent. « Seigneur, dérangez-nous», devrait être notre réponse, par le cœur et les actes. « Dérangez-nous ou plutôt arrangez-nous, disposez de nous comme Vous savez et comme Vous voulez ».

Les saints ont accueillis le “dérangement” de la venue du Seigneur. A sa sœur religieuse qui lui demandait: « Mon frère, que faire pour devenir une sainte? » Saint Thomas, en son langage laconique et expressif, répondait : « Velle! » Le vouloir.  A quoi sainte Marguerite-Marie faisait écho quelques siècles plus tard: «Pour devenir une sainte, il suffit d’un bon je le veux». Si tous osaient dire, comme ce jeune converti entré à la Trappe: « J’ai commis tous les crimes, à peu d’exception près; à vingt-cinq ans j’étais déjà un vieux pécheur, eh bien! Par la miséricorde de Dieu je deviendrai un saint et un grand saint ». Et il tint parole.

Ecoutons encore le récit de la conversion de Saint Charles de Foucauld : «Je commencerai par faire ma confession. Votre foi n’a été qu’ébranlée me disiez-vous; hélas la mienne a été complètement morte pendant des années: pendant douze ans, j’ai vécu sans aucune foi, je demeurai douze ans sans rien nier et sans rien croire, désespérant de la vérité et ne croyant même pas en Dieu, aucune preuve ne me paraissait assez évidente. Je vivais comme on peut vivre quand la dernière étincelle de foi est éteinte. Par quel miracle la miséricorde divine m’a-t-elle ramenée de si loin? Je ne puis l’attribuer qu’à une seule chose: la bonté de Celui qui a dit de lui-même « car Il est bon, car Sa miséricorde est éternelle», et sa Toute Puissance. Le Bon Dieu qui avait commencé si puissamment l’œuvre de ma conversion, par cette grâce intérieure si forte qui poussait presque irrésistiblement à l’église, l’acheva. Aussitôt que je crus qu’il y avait un Dieu, je compris que je ne pouvais faire autrement que de ne vivre que pour lui : ma vocation religieuse date de la même heure que ma foi: Dieu est si grand, il y a une telle différence entre Dieu et tout ce qui n’est pas lui».

Ce temps de l’Avent nous demande un sursaut, un nouvel élan spirituel, il nous invite à redynamiser nos résolutions et revivifier nos engagements. Quels sont mes engagements? Quelles sont mes résolutions? Résolution! Résolution! Le démon ne craint pas les âmes irrésolues. Le démon ne craint pas les âmes inconstantes. Le démon ne craint pas les pusillanimes et ceux dont la persévérance manque de constance. Résolution! Résolution! Les méchants, les pervers, les hommes mus par l’antichristianisme, les agitateurs animés par la haine du catholicisme, les francs-maçons, les révolutionnaires, les sectateurs des faux dieux, les modernistes qui ruinent la Sainte Eglise, bref le démon et tous ceux qui le servent, ne sont forts que des résolutions sans énergie et de la mollesse de volonté de ceux qui « pensent bien » mais ne vont guère au-delà.

Terminons par quelques dérangements possibles et de saison. La messe de semaine, l’adoration, la prière à la crèche, coupure de réseaux sociaux, sans musique mondaine, chapelet repris, service et préparation des offices de Noël. Voici quelques dérangements divins qui devraient trouver place dans nos agendas.

VENEZ SEIGNEUR JESUS !

 

 

Publié le 02 décembre 2024

Année2024-Homélie pour le 1er dimanche de l’Avent (JGA).

L’Avent.
Ce temps de l’Avent nous demande un sursaut, un nouvel élan spirituel, il nous invite à redynamiser nos résolutions et revivifier nos engagements. Quels sont mes engagements? Quelles sont mes résolutions?
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Inexorablement, le temps s’écoule et nous entraîne dans ses flots continus qui ne marquent jamais la moindre pause : les jours succèdent aux jours, les semaines aux semaines, les mois aux mois, les années aux années, et nous sommes emportés. Inexorablement.
Nous venons de passer le dernier dimanche de l’année liturgique, dimanche annonciateur de la fin des temps, et aujourd’hui, premier dimanche de l’Avent, nous commencerons une nouvelle année de grâces, une nouvelle année, je vous le souhaite, de croissance spirituelle et de progression surnaturelle, en suivant les pas de Notre-Seigneur Jésus-Christ, de Notre-Dame et de tous les saints.

Nous rentrons dans le temps de l’Avent. Adventus Domini; c’est l’avènement, la venue, la visite du Seigneur. Jésus est le Roi, entré dans cette pauvre “province” appelée terre pour rendre visite à tous; à la fête de son avent, il fait participer tous ceux qui croient en Lui. Dieu est ici, il ne s’est pas retiré du monde, il ne nous a pas laissés seuls. Nous commençons aujourd’hui à préparer la fête de Noël, car à Noël nous fêtons une seule chose: la Naissance de Jésus.

Ce que nous fêtons, c’est un Dieu qui se dérange, qui dérange. Il dérange non seulement ceux qui le refusent, mais encore ceux qui le reçoivent. Touchante coïncidence, le Sauveur vient comme un enfant, sous les traits d’un enfant. Dans bien des familles, la venue d’un enfant est attendue ou pas. Elle occasionne de la joie et aussi un certain dérangement! Et pourtant il est accueilli, aimé, reçu. L’Avent est un dérangement. Car Dieu dérange ceux qu’Il aime. Tous ceux qui prennent au sérieux la vie spirituelle le savent, depuis la sainte Vierge et saint Joseph. En quelques mois; bousculade des fiançailles, de l’agenda, du domicile, du confort, de la sécurité même. En tout cela; grande joie, grande paix de la présence de Dieu, de l’approche du salut. Confiance, abandon à Dieu. Disponibilité intérieure à Dieu qui vient. Dieu dérange ceux qu’Il aime pour arranger toute chose en vue de notre salut.

Notre manie de vouloir tout maîtriser s’écrase de plein fouet contre cette invitation de l’Enfant Jésus qui demande la permission pour pouvoir entrer dans notre cœur, qui veut être accueilli. La tristesse du monde vient de ce que Dieu ne le dérange plus. Nous pouvons expérimenter la joie de l’Avent à condition de connaitre cette venue de Dieu, consentir au dérangement qu’elle apporte. Quand on s’occupe de Dieu, ça arrange bien les affaires des hommes, résume sainte Bernadette. « Est-ce que je vous dérange?» dit Dieu à nos âmes durant l’Avent. « Seigneur, dérangez-nous», devrait être notre réponse, par le cœur et les actes. « Dérangez-nous ou plutôt arrangez-nous, disposez de nous comme Vous savez et comme Vous voulez ».

Les saints ont accueillis le “dérangement” de la venue du Seigneur. A sa sœur religieuse qui lui demandait: « Mon frère, que faire pour devenir une sainte? » Saint Thomas, en son langage laconique et expressif, répondait : « Velle! » Le vouloir.  A quoi sainte Marguerite-Marie faisait écho quelques siècles plus tard: «Pour devenir une sainte, il suffit d’un bon je le veux». Si tous osaient dire, comme ce jeune converti entré à la Trappe: « J’ai commis tous les crimes, à peu d’exception près; à vingt-cinq ans j’étais déjà un vieux pécheur, eh bien! Par la miséricorde de Dieu je deviendrai un saint et un grand saint ». Et il tint parole.

Ecoutons encore le récit de la conversion de Saint Charles de Foucauld : «Je commencerai par faire ma confession. Votre foi n’a été qu’ébranlée me disiez-vous; hélas la mienne a été complètement morte pendant des années: pendant douze ans, j’ai vécu sans aucune foi, je demeurai douze ans sans rien nier et sans rien croire, désespérant de la vérité et ne croyant même pas en Dieu, aucune preuve ne me paraissait assez évidente. Je vivais comme on peut vivre quand la dernière étincelle de foi est éteinte. Par quel miracle la miséricorde divine m’a-t-elle ramenée de si loin? Je ne puis l’attribuer qu’à une seule chose: la bonté de Celui qui a dit de lui-même « car Il est bon, car Sa miséricorde est éternelle», et sa Toute Puissance. Le Bon Dieu qui avait commencé si puissamment l’œuvre de ma conversion, par cette grâce intérieure si forte qui poussait presque irrésistiblement à l’église, l’acheva. Aussitôt que je crus qu’il y avait un Dieu, je compris que je ne pouvais faire autrement que de ne vivre que pour lui : ma vocation religieuse date de la même heure que ma foi: Dieu est si grand, il y a une telle différence entre Dieu et tout ce qui n’est pas lui».

Ce temps de l’Avent nous demande un sursaut, un nouvel élan spirituel, il nous invite à redynamiser nos résolutions et revivifier nos engagements. Quels sont mes engagements? Quelles sont mes résolutions? Résolution! Résolution! Le démon ne craint pas les âmes irrésolues. Le démon ne craint pas les âmes inconstantes. Le démon ne craint pas les pusillanimes et ceux dont la persévérance manque de constance. Résolution! Résolution! Les méchants, les pervers, les hommes mus par l’antichristianisme, les agitateurs animés par la haine du catholicisme, les francs-maçons, les révolutionnaires, les sectateurs des faux dieux, les modernistes qui ruinent la Sainte Eglise, bref le démon et tous ceux qui le servent, ne sont forts que des résolutions sans énergie et de la mollesse de volonté de ceux qui « pensent bien » mais ne vont guère au-delà.

Terminons par quelques dérangements possibles et de saison. La messe de semaine, l’adoration, la prière à la crèche, coupure de réseaux sociaux, sans musique mondaine, chapelet repris, service et préparation des offices de Noël. Voici quelques dérangements divins qui devraient trouver place dans nos agendas.

VENEZ SEIGNEUR JESUS !

 

 

Publié le 02 décembre 2024

Année2024-Homélie pour le 1er dimanche de l’Avent (JGA).

1er dimanche de l'avent

L’Avent.
Ce temps de l’Avent nous demande un sursaut, un nouvel élan spirituel, il nous invite à redynamiser nos résolutions et revivifier nos engagements. Quels sont mes engagements? Quelles sont mes résolutions?
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Inexorablement, le temps s’écoule et nous entraîne dans ses flots continus qui ne marquent jamais la moindre pause : les jours succèdent aux jours, les semaines aux semaines, les mois aux mois, les années aux années, et nous sommes emportés. Inexorablement.
Nous venons de passer le dernier dimanche de l’année liturgique, dimanche annonciateur de la fin des temps, et aujourd’hui, premier dimanche de l’Avent, nous commencerons une nouvelle année de grâces, une nouvelle année, je vous le souhaite, de croissance spirituelle et de progression surnaturelle, en suivant les pas de Notre-Seigneur Jésus-Christ, de Notre-Dame et de tous les saints.

Nous rentrons dans le temps de l’Avent. Adventus Domini; c’est l’avènement, la venue, la visite du Seigneur. Jésus est le Roi, entré dans cette pauvre “province” appelée terre pour rendre visite à tous; à la fête de son avent, il fait participer tous ceux qui croient en Lui. Dieu est ici, il ne s’est pas retiré du monde, il ne nous a pas laissés seuls. Nous commençons aujourd’hui à préparer la fête de Noël, car à Noël nous fêtons une seule chose: la Naissance de Jésus.

Ce que nous fêtons, c’est un Dieu qui se dérange, qui dérange. Il dérange non seulement ceux qui le refusent, mais encore ceux qui le reçoivent. Touchante coïncidence, le Sauveur vient comme un enfant, sous les traits d’un enfant. Dans bien des familles, la venue d’un enfant est attendue ou pas. Elle occasionne de la joie et aussi un certain dérangement! Et pourtant il est accueilli, aimé, reçu. L’Avent est un dérangement. Car Dieu dérange ceux qu’Il aime. Tous ceux qui prennent au sérieux la vie spirituelle le savent, depuis la sainte Vierge et saint Joseph. En quelques mois; bousculade des fiançailles, de l’agenda, du domicile, du confort, de la sécurité même. En tout cela; grande joie, grande paix de la présence de Dieu, de l’approche du salut. Confiance, abandon à Dieu. Disponibilité intérieure à Dieu qui vient. Dieu dérange ceux qu’Il aime pour arranger toute chose en vue de notre salut.

Notre manie de vouloir tout maîtriser s’écrase de plein fouet contre cette invitation de l’Enfant Jésus qui demande la permission pour pouvoir entrer dans notre cœur, qui veut être accueilli. La tristesse du monde vient de ce que Dieu ne le dérange plus. Nous pouvons expérimenter la joie de l’Avent à condition de connaitre cette venue de Dieu, consentir au dérangement qu’elle apporte. Quand on s’occupe de Dieu, ça arrange bien les affaires des hommes, résume sainte Bernadette. « Est-ce que je vous dérange?» dit Dieu à nos âmes durant l’Avent. « Seigneur, dérangez-nous», devrait être notre réponse, par le cœur et les actes. « Dérangez-nous ou plutôt arrangez-nous, disposez de nous comme Vous savez et comme Vous voulez ».

Les saints ont accueillis le “dérangement” de la venue du Seigneur. A sa sœur religieuse qui lui demandait: « Mon frère, que faire pour devenir une sainte? » Saint Thomas, en son langage laconique et expressif, répondait : « Velle! » Le vouloir.  A quoi sainte Marguerite-Marie faisait écho quelques siècles plus tard: «Pour devenir une sainte, il suffit d’un bon je le veux». Si tous osaient dire, comme ce jeune converti entré à la Trappe: « J’ai commis tous les crimes, à peu d’exception près; à vingt-cinq ans j’étais déjà un vieux pécheur, eh bien! Par la miséricorde de Dieu je deviendrai un saint et un grand saint ». Et il tint parole.

Ecoutons encore le récit de la conversion de Saint Charles de Foucauld : «Je commencerai par faire ma confession. Votre foi n’a été qu’ébranlée me disiez-vous; hélas la mienne a été complètement morte pendant des années: pendant douze ans, j’ai vécu sans aucune foi, je demeurai douze ans sans rien nier et sans rien croire, désespérant de la vérité et ne croyant même pas en Dieu, aucune preuve ne me paraissait assez évidente. Je vivais comme on peut vivre quand la dernière étincelle de foi est éteinte. Par quel miracle la miséricorde divine m’a-t-elle ramenée de si loin? Je ne puis l’attribuer qu’à une seule chose: la bonté de Celui qui a dit de lui-même « car Il est bon, car Sa miséricorde est éternelle», et sa Toute Puissance. Le Bon Dieu qui avait commencé si puissamment l’œuvre de ma conversion, par cette grâce intérieure si forte qui poussait presque irrésistiblement à l’église, l’acheva. Aussitôt que je crus qu’il y avait un Dieu, je compris que je ne pouvais faire autrement que de ne vivre que pour lui : ma vocation religieuse date de la même heure que ma foi: Dieu est si grand, il y a une telle différence entre Dieu et tout ce qui n’est pas lui».

Ce temps de l’Avent nous demande un sursaut, un nouvel élan spirituel, il nous invite à redynamiser nos résolutions et revivifier nos engagements. Quels sont mes engagements? Quelles sont mes résolutions? Résolution! Résolution! Le démon ne craint pas les âmes irrésolues. Le démon ne craint pas les âmes inconstantes. Le démon ne craint pas les pusillanimes et ceux dont la persévérance manque de constance. Résolution! Résolution! Les méchants, les pervers, les hommes mus par l’antichristianisme, les agitateurs animés par la haine du catholicisme, les francs-maçons, les révolutionnaires, les sectateurs des faux dieux, les modernistes qui ruinent la Sainte Eglise, bref le démon et tous ceux qui le servent, ne sont forts que des résolutions sans énergie et de la mollesse de volonté de ceux qui « pensent bien » mais ne vont guère au-delà.

Terminons par quelques dérangements possibles et de saison. La messe de semaine, l’adoration, la prière à la crèche, coupure de réseaux sociaux, sans musique mondaine, chapelet repris, service et préparation des offices de Noël. Voici quelques dérangements divins qui devraient trouver place dans nos agendas.

VENEZ SEIGNEUR JESUS !

 

 

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Publié le 02 décembre 2024