Année 2025-Homélie pour le 27ème dimanche du temps ordinaire (JMS).

parabole de la graine de sénevé

 

Sinapis alba…

 

Notre credo est articulé sur les trois personnes de la Sainte Trinité. Le mystère de Dieu se donne à contempler par Jésus-Christ notre Seigneur Mort et ressuscité pour nous. Avec une graine de foi de un millimètre… Vous voyez ce que l’on peut accomplir?

 

______________________________________________________
Le sénevé, mieux connu sous le nom de moutarde blanche, est une plante herbacée annuelle de cinquante à quatre-vingt centimètres de haut, à tiges assez ramifiées. De croissance rapide, elle peut arriver à maturité en à peine un mois et pousse toute l’année. Les fleurs, à pétales jaunes, parfois blancs, s’épanouissent tout l’été, de mai à septembre en répandant un doux parfum. Le fruit est une silique bosselée, hérissée de poils, renfermant quatre à huit graines. A maturité, les graines font de un à deux millimètres et sont de couleur blanc-jaunâtre, beige.
Pas étonnant que Jésus compare cette plante potagère pour condiment à la foi, ce don de Dieu qui donne dès ici-bas la saveur de l’éternité!
Mais revenons à la supplique que les Apôtres demandent au Seigneur:
« Augmente en nous la foi! »
« Le Seigneur répondit:« Si vous aviez de la foi, gros comme une graine de moutarde, vous auriez dit à l’arbre que voici: ‘Déracine-toi et va te planter dans la mer’, et il vous aurait obéi. »

Qu’est-ce que la foi? La foi, c’est savoir et avoir confiance en Dieu.
Elle a sept caractéristiques:
1.Elle est pur don de Dieu que nous obtenons quand nous la demandons avec ferveur.
2.Elle est force surnaturelle dont nous avons absolument besoin pour atteindre le salut.
3.Elle exige la volonté libre et le clair discernement de l’homme quand il répond à l’invitation divine.
4.Elle est certitude absolue parce que Jésus s’en porte garant,
5.Elle est incomplète aussi longtemps qu’elle n’est pas agissante dans la charité.
6.Elle grandit, quand nous écoutons toujours mieux la Parole de Dieu et quand, par la prière, nous engageons un dialogue vivant avec elle.
7.Elle nous donne déjà maintenant un avant-goût de la joie du ciel. Beaucoup disent que croire ne leur suffit pas, ils veulent savoir. Mais le mot « croire » a deux sens très différents.

Quand un parachutiste demande à l’employé du terrain d’aviation: « le parachute a-t-il été plié correctement? » et que celui-ci grommelle: « Euh ! Je crois bien que oui », cette réponse ne lui convient pas, il voudrait savoir. Si en revanche, il a demandé à un ami de plier le parachute et que celui-ci réponde à la même question: « oui, je l’ai fait personnellement. Tu peux me croire. » Cette foi-là est beaucoup plus qu’un savoir, c’est une certitude.
Telle est la foi qui a fait émigrer Abraham vers la Terre promise, qui a permis aux martyrs de tenir bon jusque dans la mort, qui soutient, aujourd’hui encore, des chrétiens persécutés. Une foi qui saisit l’être humain tout entier.
Or, « Ce que nous croyons est important, mais plus important encore est en qui nous croyons. » (Benoît XVI)

Au début de la foi, il y a souvent un ébranlement ou une inquiétude. L’homme sent que le monde visible et le cours normal des choses ne constituent pas le tout de l’existence. Il se sent touché par un mystère. Il suit les traces qui les renvoient à l’existence de Dieu et trouve peu à peu confiance pour s’adresser à lui et pour finalement entrer librement en relation avec lui. Dans l’Evangile de saint Jean, on peut lire: « Dieu, personne ne l’a jamais vu; le Fils unique qui est dans le sein du Père, c’est lui qui l’a fait connaître » (Jn 1, 18)
Voilà pourquoi nous devons croire en Jésus, le Fils de Dieu, si nous voulons savoir ce que Dieu veut nous communiquer. Croire signifie donc donner son accord à Jésus et miser toute sa vie sur Lui.
Et, au passage…

Il n’y a pas de contradiction insurmontable entre la foi et la science car il ne peut y avoir de double vérité. « Nous ne trouvons nulle part de contradiction entre Dieu et la science. Ils ne s’excluent pas comme aujourd’hui certains croient ou bien le redoutent, ils se complètent et se présupposent mutuellement. » (Max Planck, prix Nobel 1918 de physique – théorie des quanta)

Personne ne peut croire tout seul comme personne ne peut vivre tout seul. Nous recevons la foi de l’Eglise et nous la vivons en communion avec ceux qui partagent la foi.
La foi est ce qu’il y a de plus personnel chez un être humain, elle n’est pas pour autant une affaire privée. Celui qui veut croire doit pouvoir dire « je » aussi bien que « nous », car une foi que l’on ne peut ni partager ni communiquer serait irrationnelle. Le croyant individuel donne sa libre adhésion au « nous croyons » de l’Eglise. C’est de l’Eglise qu’il a reçu la foi. Par-delà les siècles, elle lui a transmis la foi, elle l’a protégée des falsifications et elle a permis que sa lumière
ne cesse de briller. Il en résulte que la foi est la participation à une conviction collective. La foi des autres me porte, de même que le feu de ma foi allume le feu ou fortifie chez les autres. Le « je » et le « nous » de la foi sont soulignés par le fait que l’Eglise utilise deux professions de foi: symbole des apôtres, symbole de Nicée
Constantinople (dans sa forme primitive commençait par credimus! nous croyons).
Le savez-vous? Notre credo est articulé sur les trois personnes de la Sainte Trinité. Le mystère de Dieu se donne à contempler par Jésus-Christ notre Seigneur Mort et ressuscité pour nous. Avec une graine de foi de un millimètre… Vous voyez ce que l’on peut accomplir?

Au moment de proclamer le résumé de notre foi, nous pourrions être plus particulièrement attentif, à laisser raisonner ces paroles de vie: Je crois en Dieu, le Père; en Jésus-Christ, son Fils unique; je crois en l’Esprit Saint.
Nous pourrions prendre pour notre prière, et pourquoi pas apprendre
par cœur, l’acte de foi: Mon Dieu, je crois fermement toutes les vérités que vous m’avez révélées et que vous nous enseignez par votre sainte Eglise, parce que vous ne pouvez ni vous tromper, ni nous tromper. Quel ancrage pour nous!
Nous pourrions cette semaine témoigner d’une grâce, d’une merveille que Dieu a faite pour nous. Vous verriez la joie et l’impact du témoignage!
La foi ? Un cadeau immense, un trésor pour tous.

Publié le 06 octobre 2025

Année 2025-Homélie pour le 27ème dimanche du temps ordinaire (JMS).

 

Sinapis alba…

 

Notre credo est articulé sur les trois personnes de la Sainte Trinité. Le mystère de Dieu se donne à contempler par Jésus-Christ notre Seigneur Mort et ressuscité pour nous. Avec une graine de foi de un millimètre… Vous voyez ce que l’on peut accomplir?

 

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Le sénevé, mieux connu sous le nom de moutarde blanche, est une plante herbacée annuelle de cinquante à quatre-vingt centimètres de haut, à tiges assez ramifiées. De croissance rapide, elle peut arriver à maturité en à peine un mois et pousse toute l’année. Les fleurs, à pétales jaunes, parfois blancs, s’épanouissent tout l’été, de mai à septembre en répandant un doux parfum. Le fruit est une silique bosselée, hérissée de poils, renfermant quatre à huit graines. A maturité, les graines font de un à deux millimètres et sont de couleur blanc-jaunâtre, beige.
Pas étonnant que Jésus compare cette plante potagère pour condiment à la foi, ce don de Dieu qui donne dès ici-bas la saveur de l’éternité!
Mais revenons à la supplique que les Apôtres demandent au Seigneur:
« Augmente en nous la foi! »
« Le Seigneur répondit:« Si vous aviez de la foi, gros comme une graine de moutarde, vous auriez dit à l’arbre que voici: ‘Déracine-toi et va te planter dans la mer’, et il vous aurait obéi. »

Qu’est-ce que la foi? La foi, c’est savoir et avoir confiance en Dieu.
Elle a sept caractéristiques:
1.Elle est pur don de Dieu que nous obtenons quand nous la demandons avec ferveur.
2.Elle est force surnaturelle dont nous avons absolument besoin pour atteindre le salut.
3.Elle exige la volonté libre et le clair discernement de l’homme quand il répond à l’invitation divine.
4.Elle est certitude absolue parce que Jésus s’en porte garant,
5.Elle est incomplète aussi longtemps qu’elle n’est pas agissante dans la charité.
6.Elle grandit, quand nous écoutons toujours mieux la Parole de Dieu et quand, par la prière, nous engageons un dialogue vivant avec elle.
7.Elle nous donne déjà maintenant un avant-goût de la joie du ciel. Beaucoup disent que croire ne leur suffit pas, ils veulent savoir. Mais le mot « croire » a deux sens très différents.

Quand un parachutiste demande à l’employé du terrain d’aviation: « le parachute a-t-il été plié correctement? » et que celui-ci grommelle: « Euh ! Je crois bien que oui », cette réponse ne lui convient pas, il voudrait savoir. Si en revanche, il a demandé à un ami de plier le parachute et que celui-ci réponde à la même question: « oui, je l’ai fait personnellement. Tu peux me croire. » Cette foi-là est beaucoup plus qu’un savoir, c’est une certitude.
Telle est la foi qui a fait émigrer Abraham vers la Terre promise, qui a permis aux martyrs de tenir bon jusque dans la mort, qui soutient, aujourd’hui encore, des chrétiens persécutés. Une foi qui saisit l’être humain tout entier.
Or, « Ce que nous croyons est important, mais plus important encore est en qui nous croyons. » (Benoît XVI)

Au début de la foi, il y a souvent un ébranlement ou une inquiétude. L’homme sent que le monde visible et le cours normal des choses ne constituent pas le tout de l’existence. Il se sent touché par un mystère. Il suit les traces qui les renvoient à l’existence de Dieu et trouve peu à peu confiance pour s’adresser à lui et pour finalement entrer librement en relation avec lui. Dans l’Evangile de saint Jean, on peut lire: « Dieu, personne ne l’a jamais vu; le Fils unique qui est dans le sein du Père, c’est lui qui l’a fait connaître » (Jn 1, 18)
Voilà pourquoi nous devons croire en Jésus, le Fils de Dieu, si nous voulons savoir ce que Dieu veut nous communiquer. Croire signifie donc donner son accord à Jésus et miser toute sa vie sur Lui.
Et, au passage…

Il n’y a pas de contradiction insurmontable entre la foi et la science car il ne peut y avoir de double vérité. « Nous ne trouvons nulle part de contradiction entre Dieu et la science. Ils ne s’excluent pas comme aujourd’hui certains croient ou bien le redoutent, ils se complètent et se présupposent mutuellement. » (Max Planck, prix Nobel 1918 de physique – théorie des quanta)

Personne ne peut croire tout seul comme personne ne peut vivre tout seul. Nous recevons la foi de l’Eglise et nous la vivons en communion avec ceux qui partagent la foi.
La foi est ce qu’il y a de plus personnel chez un être humain, elle n’est pas pour autant une affaire privée. Celui qui veut croire doit pouvoir dire « je » aussi bien que « nous », car une foi que l’on ne peut ni partager ni communiquer serait irrationnelle. Le croyant individuel donne sa libre adhésion au « nous croyons » de l’Eglise. C’est de l’Eglise qu’il a reçu la foi. Par-delà les siècles, elle lui a transmis la foi, elle l’a protégée des falsifications et elle a permis que sa lumière
ne cesse de briller. Il en résulte que la foi est la participation à une conviction collective. La foi des autres me porte, de même que le feu de ma foi allume le feu ou fortifie chez les autres. Le « je » et le « nous » de la foi sont soulignés par le fait que l’Eglise utilise deux professions de foi: symbole des apôtres, symbole de Nicée
Constantinople (dans sa forme primitive commençait par credimus! nous croyons).
Le savez-vous? Notre credo est articulé sur les trois personnes de la Sainte Trinité. Le mystère de Dieu se donne à contempler par Jésus-Christ notre Seigneur Mort et ressuscité pour nous. Avec une graine de foi de un millimètre… Vous voyez ce que l’on peut accomplir?

Au moment de proclamer le résumé de notre foi, nous pourrions être plus particulièrement attentif, à laisser raisonner ces paroles de vie: Je crois en Dieu, le Père; en Jésus-Christ, son Fils unique; je crois en l’Esprit Saint.
Nous pourrions prendre pour notre prière, et pourquoi pas apprendre
par cœur, l’acte de foi: Mon Dieu, je crois fermement toutes les vérités que vous m’avez révélées et que vous nous enseignez par votre sainte Eglise, parce que vous ne pouvez ni vous tromper, ni nous tromper. Quel ancrage pour nous!
Nous pourrions cette semaine témoigner d’une grâce, d’une merveille que Dieu a faite pour nous. Vous verriez la joie et l’impact du témoignage!
La foi ? Un cadeau immense, un trésor pour tous.

Publié le 06 octobre 2025

Année 2025-Homélie pour le 27ème dimanche du temps ordinaire (JMS).

parabole de la graine de sénevé

 

Sinapis alba…

 

Notre credo est articulé sur les trois personnes de la Sainte Trinité. Le mystère de Dieu se donne à contempler par Jésus-Christ notre Seigneur Mort et ressuscité pour nous. Avec une graine de foi de un millimètre… Vous voyez ce que l’on peut accomplir?

 

______________________________________________________
Le sénevé, mieux connu sous le nom de moutarde blanche, est une plante herbacée annuelle de cinquante à quatre-vingt centimètres de haut, à tiges assez ramifiées. De croissance rapide, elle peut arriver à maturité en à peine un mois et pousse toute l’année. Les fleurs, à pétales jaunes, parfois blancs, s’épanouissent tout l’été, de mai à septembre en répandant un doux parfum. Le fruit est une silique bosselée, hérissée de poils, renfermant quatre à huit graines. A maturité, les graines font de un à deux millimètres et sont de couleur blanc-jaunâtre, beige.
Pas étonnant que Jésus compare cette plante potagère pour condiment à la foi, ce don de Dieu qui donne dès ici-bas la saveur de l’éternité!
Mais revenons à la supplique que les Apôtres demandent au Seigneur:
« Augmente en nous la foi! »
« Le Seigneur répondit:« Si vous aviez de la foi, gros comme une graine de moutarde, vous auriez dit à l’arbre que voici: ‘Déracine-toi et va te planter dans la mer’, et il vous aurait obéi. »

Qu’est-ce que la foi? La foi, c’est savoir et avoir confiance en Dieu.
Elle a sept caractéristiques:
1.Elle est pur don de Dieu que nous obtenons quand nous la demandons avec ferveur.
2.Elle est force surnaturelle dont nous avons absolument besoin pour atteindre le salut.
3.Elle exige la volonté libre et le clair discernement de l’homme quand il répond à l’invitation divine.
4.Elle est certitude absolue parce que Jésus s’en porte garant,
5.Elle est incomplète aussi longtemps qu’elle n’est pas agissante dans la charité.
6.Elle grandit, quand nous écoutons toujours mieux la Parole de Dieu et quand, par la prière, nous engageons un dialogue vivant avec elle.
7.Elle nous donne déjà maintenant un avant-goût de la joie du ciel. Beaucoup disent que croire ne leur suffit pas, ils veulent savoir. Mais le mot « croire » a deux sens très différents.

Quand un parachutiste demande à l’employé du terrain d’aviation: « le parachute a-t-il été plié correctement? » et que celui-ci grommelle: « Euh ! Je crois bien que oui », cette réponse ne lui convient pas, il voudrait savoir. Si en revanche, il a demandé à un ami de plier le parachute et que celui-ci réponde à la même question: « oui, je l’ai fait personnellement. Tu peux me croire. » Cette foi-là est beaucoup plus qu’un savoir, c’est une certitude.
Telle est la foi qui a fait émigrer Abraham vers la Terre promise, qui a permis aux martyrs de tenir bon jusque dans la mort, qui soutient, aujourd’hui encore, des chrétiens persécutés. Une foi qui saisit l’être humain tout entier.
Or, « Ce que nous croyons est important, mais plus important encore est en qui nous croyons. » (Benoît XVI)

Au début de la foi, il y a souvent un ébranlement ou une inquiétude. L’homme sent que le monde visible et le cours normal des choses ne constituent pas le tout de l’existence. Il se sent touché par un mystère. Il suit les traces qui les renvoient à l’existence de Dieu et trouve peu à peu confiance pour s’adresser à lui et pour finalement entrer librement en relation avec lui. Dans l’Evangile de saint Jean, on peut lire: « Dieu, personne ne l’a jamais vu; le Fils unique qui est dans le sein du Père, c’est lui qui l’a fait connaître » (Jn 1, 18)
Voilà pourquoi nous devons croire en Jésus, le Fils de Dieu, si nous voulons savoir ce que Dieu veut nous communiquer. Croire signifie donc donner son accord à Jésus et miser toute sa vie sur Lui.
Et, au passage…

Il n’y a pas de contradiction insurmontable entre la foi et la science car il ne peut y avoir de double vérité. « Nous ne trouvons nulle part de contradiction entre Dieu et la science. Ils ne s’excluent pas comme aujourd’hui certains croient ou bien le redoutent, ils se complètent et se présupposent mutuellement. » (Max Planck, prix Nobel 1918 de physique – théorie des quanta)

Personne ne peut croire tout seul comme personne ne peut vivre tout seul. Nous recevons la foi de l’Eglise et nous la vivons en communion avec ceux qui partagent la foi.
La foi est ce qu’il y a de plus personnel chez un être humain, elle n’est pas pour autant une affaire privée. Celui qui veut croire doit pouvoir dire « je » aussi bien que « nous », car une foi que l’on ne peut ni partager ni communiquer serait irrationnelle. Le croyant individuel donne sa libre adhésion au « nous croyons » de l’Eglise. C’est de l’Eglise qu’il a reçu la foi. Par-delà les siècles, elle lui a transmis la foi, elle l’a protégée des falsifications et elle a permis que sa lumière
ne cesse de briller. Il en résulte que la foi est la participation à une conviction collective. La foi des autres me porte, de même que le feu de ma foi allume le feu ou fortifie chez les autres. Le « je » et le « nous » de la foi sont soulignés par le fait que l’Eglise utilise deux professions de foi: symbole des apôtres, symbole de Nicée
Constantinople (dans sa forme primitive commençait par credimus! nous croyons).
Le savez-vous? Notre credo est articulé sur les trois personnes de la Sainte Trinité. Le mystère de Dieu se donne à contempler par Jésus-Christ notre Seigneur Mort et ressuscité pour nous. Avec une graine de foi de un millimètre… Vous voyez ce que l’on peut accomplir?

Au moment de proclamer le résumé de notre foi, nous pourrions être plus particulièrement attentif, à laisser raisonner ces paroles de vie: Je crois en Dieu, le Père; en Jésus-Christ, son Fils unique; je crois en l’Esprit Saint.
Nous pourrions prendre pour notre prière, et pourquoi pas apprendre
par cœur, l’acte de foi: Mon Dieu, je crois fermement toutes les vérités que vous m’avez révélées et que vous nous enseignez par votre sainte Eglise, parce que vous ne pouvez ni vous tromper, ni nous tromper. Quel ancrage pour nous!
Nous pourrions cette semaine témoigner d’une grâce, d’une merveille que Dieu a faite pour nous. Vous verriez la joie et l’impact du témoignage!
La foi ? Un cadeau immense, un trésor pour tous.

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Publié le 06 octobre 2025