Année 2025-Homélie pour le 16ème dimanche du temps ordinaire (JGA).

Saint Elie, prophète.
Elie nous montre la force d’une fidélité absolue à Dieu dans un monde tenté par l’idolâtrie. Comme lui, nous sommes appelés à proclamer la vérité du Christ, même lorsque la société nous pousse à nous conformer à ses fausses valeurs. Son courage face aux prophètes de Baal nous rappelle que la foi véritable exige parfois de se tenir seul contre la foule, soutenu par la grâce divine
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Aujourd’hui, 20 Juillet, notre sainte Eglise célèbre avec joie la mémoire du grand prophète Elie, cet homme de feu dont la vie éclaire nos âmes en quête de Dieu. Connu comme le Thesbite, car il était originaire de Thesbé, en Galaad. En saint Elie nous vénérons le Père de tous les ermites, l’une des plus parfaites figures de chercheur de Dieu, l’une des plus parfaites figures de totale consécration au service du Très Haut, l’une des plus parfaites figures de la vie religieuse alliant contemplation et action. En appelant Elie, Dieu a en quelque sorte appelé et béni en même temps, à travers tous les âges et jusqu’à la consommation des siècles, la foule de ceux qui, épris de l’absolu divin, ne souffrent ni médiocrité, ni compromis, ni demi-mesure.
Tantôt retiré du monde et absorbé dans une intime conversation avec Dieu, tantôt en première ligne des combats qu’il faut soutenir pour la vraie foi, il reste pour toutes les générations de croyants un exemple à imiter: exemple de zèle et d’ardeur, exemple de soif d’absolu, exemple d’intégrité et de force morale, malgré l’expérience de ses propres faiblesses et la tentation du découragement, mais aussi exemple de douce humanité et de compassion authentique (car l’humanité et la compassion ne sont ni la faiblesse ni la compromission).
Elie est un héros de la vérité divine, sa fête, inscrite dans les calendriers liturgiques des Eglises latine et grecque, nous invite à méditer sur son exemple et à demander humblement son intercession.
On l’appela Elie, qui signifie « mon Dieu est le Seigneur », pour marquer l’excellence de sa vocation, et pour que son nom manifeste que son unique exercice serait de manifester les grandeurs de Dieu, de faire adorer sa Majesté, de détruire les ennemis de son Nom et d’établir son domaine et son culte dans toutes les nations de la terre. Elie vécut au neuvième siècle avant la venue de notre Sauveur, à une époque où le peuple d’Israël s’était égaré dans l’idolâtrie sous le règne du roi Achab et de la reine Jézabel. Ces derniers avaient entraîné la nation dans le culte impie de Baal, abandonnant le Dieu vivant pour des idoles muettes. Face à cette apostasie, Elie se dressa avec un zèle ardent, déclarant à Achab: « Par le Seigneur, le Dieu d’Israël, devant qui je me tiens, il n’y aura ces années-ci ni rosée ni pluie, sinon à ma parole » (1 Rois 17, 1). Par ce geste audacieux, Elie manifesta la puissance de Dieu, qui ferma les cieux pour appeler son peuple à la repentance.
Les Ecritures nous relatent les nombreux miracles qui marquèrent le ministère d’Elie, chacun révélant sa confiance sans limite dans la providence divine. Au torrent de Kerith, lorsque la faim le menaçait, des corbeaux lui apportèrent du pain et de la viande, matin et soir, par la volonté de Dieu (1 Rois 17, 6). Sur le mont Carmel, il invoqua le feu du ciel, qui consuma son sacrifice, prouvant ainsi la suprématie du Seigneur sur les faux dieux de Baal (1 Rois 18, 38) et suscitant l’admiration du peuple qui s’écria : « Le Seigneur est le vrai Dieu ! Le Seigneur est le vrai Dieu ! » – « Alors », reprit le brûlant vengeur des droits de l’Eternel saint Elie, « saisissez les prophètes de Baal, et que pas un ne survive». En effet, ils furent tous immolés, les 850 prophètes de Baal, au pied du Carmel, sur les bords du Cison. Enfin, dans un moment d’une gloire inégalée, Elie fut enlevé au ciel dans un tourbillon, porté par un char de feu (2 Rois 2, 11). La tradition nous enseigne qu’Elie, comme Hénoch, fut préservé de la mort par une grâce spéciale, afin de revenir avant le « grand et terrible jour du Seigneur » (Malachie 4, 5) pour préparer la seconde venue du Messie et combattre l’Antéchrist.
Quel enseignement pouvons-nous tirer de la vie de ce saint prophète ? D’abord, Elie nous montre la force d’une fidélité absolue à Dieu dans un monde tenté par l’idolâtrie. Comme lui, nous sommes appelés à proclamer la vérité du Christ, même lorsque la société nous pousse à nous conformer à ses fausses valeurs. Son courage face aux prophètes de Baal nous rappelle que la foi véritable exige parfois de se tenir seul contre la foule, soutenu par la grâce divine. Ensuite, Elie, homme de prière et de solitude, nous invite à chercher Dieu dans le silence et la contemplation. En tant que modèle des ermites et père spirituel du Carmel, il nous enseigne que la rencontre avec Dieu se fait dans l’intimité du cœur, loin des bruits du monde. Le scapulaire de Notre-Dame du Mont-Carmel, inspiré par son héritage, est un signe de cette consécration à Dieu par Marie.
Enfin la vie d’Elie nous tourne vers l’espérance eschatologique. Le prophète Malachie annonce qu’Elie reviendra pour préparer le chemin du Seigneur (Malachie 4, 5). Cette promesse nous rappelle que notre vie chrétienne est orientée vers la rencontre ultime avec le Christ à la fin des temps où revenant victorieux il jugera les vivants et les morts « et son règne n’aura pas de fin ». En célébrant saint Elie, nous sommes invités à renouveler notre zèle pour la gloire de Dieu, notre choix de prédilection pour la prière, notre courage dans la foi et notre confiance en la providence divine.
Prenons donc à cœur l’exemple de ce grand prophète. Que son intercession nous obtienne la grâce de vivre avec la même ferveur, proclamant par nos paroles et nos actes que le Seigneur est notre seul et véritable Dieu. Prions: Ô Dieu, qui avez suscité le saint prophète Elie pour ramener votre peuple à vous, accordez-nous la grâce de suivre son exemple de fidélité et de prière, afin que nous soyons trouvés dignes de votre royaume éternel. Par le Christ, notre Seigneur. Amen.
Publié le 20 juillet 2025
Année 2025-Homélie pour le 16ème dimanche du temps ordinaire (JGA).
Saint Elie, prophète.
Elie nous montre la force d’une fidélité absolue à Dieu dans un monde tenté par l’idolâtrie. Comme lui, nous sommes appelés à proclamer la vérité du Christ, même lorsque la société nous pousse à nous conformer à ses fausses valeurs. Son courage face aux prophètes de Baal nous rappelle que la foi véritable exige parfois de se tenir seul contre la foule, soutenu par la grâce divine
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Aujourd’hui, 20 Juillet, notre sainte Eglise célèbre avec joie la mémoire du grand prophète Elie, cet homme de feu dont la vie éclaire nos âmes en quête de Dieu. Connu comme le Thesbite, car il était originaire de Thesbé, en Galaad. En saint Elie nous vénérons le Père de tous les ermites, l’une des plus parfaites figures de chercheur de Dieu, l’une des plus parfaites figures de totale consécration au service du Très Haut, l’une des plus parfaites figures de la vie religieuse alliant contemplation et action. En appelant Elie, Dieu a en quelque sorte appelé et béni en même temps, à travers tous les âges et jusqu’à la consommation des siècles, la foule de ceux qui, épris de l’absolu divin, ne souffrent ni médiocrité, ni compromis, ni demi-mesure.
Tantôt retiré du monde et absorbé dans une intime conversation avec Dieu, tantôt en première ligne des combats qu’il faut soutenir pour la vraie foi, il reste pour toutes les générations de croyants un exemple à imiter: exemple de zèle et d’ardeur, exemple de soif d’absolu, exemple d’intégrité et de force morale, malgré l’expérience de ses propres faiblesses et la tentation du découragement, mais aussi exemple de douce humanité et de compassion authentique (car l’humanité et la compassion ne sont ni la faiblesse ni la compromission).
Elie est un héros de la vérité divine, sa fête, inscrite dans les calendriers liturgiques des Eglises latine et grecque, nous invite à méditer sur son exemple et à demander humblement son intercession.
On l’appela Elie, qui signifie « mon Dieu est le Seigneur », pour marquer l’excellence de sa vocation, et pour que son nom manifeste que son unique exercice serait de manifester les grandeurs de Dieu, de faire adorer sa Majesté, de détruire les ennemis de son Nom et d’établir son domaine et son culte dans toutes les nations de la terre. Elie vécut au neuvième siècle avant la venue de notre Sauveur, à une époque où le peuple d’Israël s’était égaré dans l’idolâtrie sous le règne du roi Achab et de la reine Jézabel. Ces derniers avaient entraîné la nation dans le culte impie de Baal, abandonnant le Dieu vivant pour des idoles muettes. Face à cette apostasie, Elie se dressa avec un zèle ardent, déclarant à Achab: « Par le Seigneur, le Dieu d’Israël, devant qui je me tiens, il n’y aura ces années-ci ni rosée ni pluie, sinon à ma parole » (1 Rois 17, 1). Par ce geste audacieux, Elie manifesta la puissance de Dieu, qui ferma les cieux pour appeler son peuple à la repentance.
Les Ecritures nous relatent les nombreux miracles qui marquèrent le ministère d’Elie, chacun révélant sa confiance sans limite dans la providence divine. Au torrent de Kerith, lorsque la faim le menaçait, des corbeaux lui apportèrent du pain et de la viande, matin et soir, par la volonté de Dieu (1 Rois 17, 6). Sur le mont Carmel, il invoqua le feu du ciel, qui consuma son sacrifice, prouvant ainsi la suprématie du Seigneur sur les faux dieux de Baal (1 Rois 18, 38) et suscitant l’admiration du peuple qui s’écria : « Le Seigneur est le vrai Dieu ! Le Seigneur est le vrai Dieu ! » – « Alors », reprit le brûlant vengeur des droits de l’Eternel saint Elie, « saisissez les prophètes de Baal, et que pas un ne survive». En effet, ils furent tous immolés, les 850 prophètes de Baal, au pied du Carmel, sur les bords du Cison. Enfin, dans un moment d’une gloire inégalée, Elie fut enlevé au ciel dans un tourbillon, porté par un char de feu (2 Rois 2, 11). La tradition nous enseigne qu’Elie, comme Hénoch, fut préservé de la mort par une grâce spéciale, afin de revenir avant le « grand et terrible jour du Seigneur » (Malachie 4, 5) pour préparer la seconde venue du Messie et combattre l’Antéchrist.
Quel enseignement pouvons-nous tirer de la vie de ce saint prophète ? D’abord, Elie nous montre la force d’une fidélité absolue à Dieu dans un monde tenté par l’idolâtrie. Comme lui, nous sommes appelés à proclamer la vérité du Christ, même lorsque la société nous pousse à nous conformer à ses fausses valeurs. Son courage face aux prophètes de Baal nous rappelle que la foi véritable exige parfois de se tenir seul contre la foule, soutenu par la grâce divine. Ensuite, Elie, homme de prière et de solitude, nous invite à chercher Dieu dans le silence et la contemplation. En tant que modèle des ermites et père spirituel du Carmel, il nous enseigne que la rencontre avec Dieu se fait dans l’intimité du cœur, loin des bruits du monde. Le scapulaire de Notre-Dame du Mont-Carmel, inspiré par son héritage, est un signe de cette consécration à Dieu par Marie.
Enfin la vie d’Elie nous tourne vers l’espérance eschatologique. Le prophète Malachie annonce qu’Elie reviendra pour préparer le chemin du Seigneur (Malachie 4, 5). Cette promesse nous rappelle que notre vie chrétienne est orientée vers la rencontre ultime avec le Christ à la fin des temps où revenant victorieux il jugera les vivants et les morts « et son règne n’aura pas de fin ». En célébrant saint Elie, nous sommes invités à renouveler notre zèle pour la gloire de Dieu, notre choix de prédilection pour la prière, notre courage dans la foi et notre confiance en la providence divine.
Prenons donc à cœur l’exemple de ce grand prophète. Que son intercession nous obtienne la grâce de vivre avec la même ferveur, proclamant par nos paroles et nos actes que le Seigneur est notre seul et véritable Dieu. Prions: Ô Dieu, qui avez suscité le saint prophète Elie pour ramener votre peuple à vous, accordez-nous la grâce de suivre son exemple de fidélité et de prière, afin que nous soyons trouvés dignes de votre royaume éternel. Par le Christ, notre Seigneur. Amen.
Publié le 20 juillet 2025
Année 2025-Homélie pour le 16ème dimanche du temps ordinaire (JGA).

Saint Elie, prophète.
Elie nous montre la force d’une fidélité absolue à Dieu dans un monde tenté par l’idolâtrie. Comme lui, nous sommes appelés à proclamer la vérité du Christ, même lorsque la société nous pousse à nous conformer à ses fausses valeurs. Son courage face aux prophètes de Baal nous rappelle que la foi véritable exige parfois de se tenir seul contre la foule, soutenu par la grâce divine
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Aujourd’hui, 20 Juillet, notre sainte Eglise célèbre avec joie la mémoire du grand prophète Elie, cet homme de feu dont la vie éclaire nos âmes en quête de Dieu. Connu comme le Thesbite, car il était originaire de Thesbé, en Galaad. En saint Elie nous vénérons le Père de tous les ermites, l’une des plus parfaites figures de chercheur de Dieu, l’une des plus parfaites figures de totale consécration au service du Très Haut, l’une des plus parfaites figures de la vie religieuse alliant contemplation et action. En appelant Elie, Dieu a en quelque sorte appelé et béni en même temps, à travers tous les âges et jusqu’à la consommation des siècles, la foule de ceux qui, épris de l’absolu divin, ne souffrent ni médiocrité, ni compromis, ni demi-mesure.
Tantôt retiré du monde et absorbé dans une intime conversation avec Dieu, tantôt en première ligne des combats qu’il faut soutenir pour la vraie foi, il reste pour toutes les générations de croyants un exemple à imiter: exemple de zèle et d’ardeur, exemple de soif d’absolu, exemple d’intégrité et de force morale, malgré l’expérience de ses propres faiblesses et la tentation du découragement, mais aussi exemple de douce humanité et de compassion authentique (car l’humanité et la compassion ne sont ni la faiblesse ni la compromission).
Elie est un héros de la vérité divine, sa fête, inscrite dans les calendriers liturgiques des Eglises latine et grecque, nous invite à méditer sur son exemple et à demander humblement son intercession.
On l’appela Elie, qui signifie « mon Dieu est le Seigneur », pour marquer l’excellence de sa vocation, et pour que son nom manifeste que son unique exercice serait de manifester les grandeurs de Dieu, de faire adorer sa Majesté, de détruire les ennemis de son Nom et d’établir son domaine et son culte dans toutes les nations de la terre. Elie vécut au neuvième siècle avant la venue de notre Sauveur, à une époque où le peuple d’Israël s’était égaré dans l’idolâtrie sous le règne du roi Achab et de la reine Jézabel. Ces derniers avaient entraîné la nation dans le culte impie de Baal, abandonnant le Dieu vivant pour des idoles muettes. Face à cette apostasie, Elie se dressa avec un zèle ardent, déclarant à Achab: « Par le Seigneur, le Dieu d’Israël, devant qui je me tiens, il n’y aura ces années-ci ni rosée ni pluie, sinon à ma parole » (1 Rois 17, 1). Par ce geste audacieux, Elie manifesta la puissance de Dieu, qui ferma les cieux pour appeler son peuple à la repentance.
Les Ecritures nous relatent les nombreux miracles qui marquèrent le ministère d’Elie, chacun révélant sa confiance sans limite dans la providence divine. Au torrent de Kerith, lorsque la faim le menaçait, des corbeaux lui apportèrent du pain et de la viande, matin et soir, par la volonté de Dieu (1 Rois 17, 6). Sur le mont Carmel, il invoqua le feu du ciel, qui consuma son sacrifice, prouvant ainsi la suprématie du Seigneur sur les faux dieux de Baal (1 Rois 18, 38) et suscitant l’admiration du peuple qui s’écria : « Le Seigneur est le vrai Dieu ! Le Seigneur est le vrai Dieu ! » – « Alors », reprit le brûlant vengeur des droits de l’Eternel saint Elie, « saisissez les prophètes de Baal, et que pas un ne survive». En effet, ils furent tous immolés, les 850 prophètes de Baal, au pied du Carmel, sur les bords du Cison. Enfin, dans un moment d’une gloire inégalée, Elie fut enlevé au ciel dans un tourbillon, porté par un char de feu (2 Rois 2, 11). La tradition nous enseigne qu’Elie, comme Hénoch, fut préservé de la mort par une grâce spéciale, afin de revenir avant le « grand et terrible jour du Seigneur » (Malachie 4, 5) pour préparer la seconde venue du Messie et combattre l’Antéchrist.
Quel enseignement pouvons-nous tirer de la vie de ce saint prophète ? D’abord, Elie nous montre la force d’une fidélité absolue à Dieu dans un monde tenté par l’idolâtrie. Comme lui, nous sommes appelés à proclamer la vérité du Christ, même lorsque la société nous pousse à nous conformer à ses fausses valeurs. Son courage face aux prophètes de Baal nous rappelle que la foi véritable exige parfois de se tenir seul contre la foule, soutenu par la grâce divine. Ensuite, Elie, homme de prière et de solitude, nous invite à chercher Dieu dans le silence et la contemplation. En tant que modèle des ermites et père spirituel du Carmel, il nous enseigne que la rencontre avec Dieu se fait dans l’intimité du cœur, loin des bruits du monde. Le scapulaire de Notre-Dame du Mont-Carmel, inspiré par son héritage, est un signe de cette consécration à Dieu par Marie.
Enfin la vie d’Elie nous tourne vers l’espérance eschatologique. Le prophète Malachie annonce qu’Elie reviendra pour préparer le chemin du Seigneur (Malachie 4, 5). Cette promesse nous rappelle que notre vie chrétienne est orientée vers la rencontre ultime avec le Christ à la fin des temps où revenant victorieux il jugera les vivants et les morts « et son règne n’aura pas de fin ». En célébrant saint Elie, nous sommes invités à renouveler notre zèle pour la gloire de Dieu, notre choix de prédilection pour la prière, notre courage dans la foi et notre confiance en la providence divine.
Prenons donc à cœur l’exemple de ce grand prophète. Que son intercession nous obtienne la grâce de vivre avec la même ferveur, proclamant par nos paroles et nos actes que le Seigneur est notre seul et véritable Dieu. Prions: Ô Dieu, qui avez suscité le saint prophète Elie pour ramener votre peuple à vous, accordez-nous la grâce de suivre son exemple de fidélité et de prière, afin que nous soyons trouvés dignes de votre royaume éternel. Par le Christ, notre Seigneur. Amen.
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Publié le 20 juillet 2025