Année 2025-Homélie pour la solennité de l’Ascension de Notre Seigneur (JA).

L’Ascension de notre Seigneur.
Jésus est loin du lieu que vos regards peuvent atteindre; mais cherchez-le toujours, attendez-le toujours; comme il est monté, il reviendra. Il reviendra; toute la vie chrétienne consiste à l’attendre, à le désirer, à se préparer à son jugement.
__________________________________________________________
Notre-Seigneur a accompli l’œuvre que son Père lui avait donnée à faire sur la terre; il s’est abaissé, il doit être exalté; il a souffert, il doit être réjoui; il a vaincu, il doit triompher. L’heure est déjà là, le mystère de son Ascension couronne tous ses mystères.
Venu des cieux, il retourne aux cieux; mais quel chemin il a parcouru! Comme un divin soleil, il s’est levé sur nous, naissant de la Vierge; il a répandu dans le monde entier sa lumière et sa chaleur, lumière de la loi divine, chaleur de la charité; le voici arrivé à son midi et montant aux cieux à l’heure même de midi, il y demeurera et n’aura pas de déclin.
« Ô Père, l’heure est venue, glorifiez votre Fils! » C’était une prière de Jésus avant sa mort et il nous est bon de la répéter aujourd’hui à son Ascension: « ô Père, l’heure est venue, glorifiez votre Fils! ».
Aujourd’hui, Jésus est entré dans sa gloire; aujourd’hui, notre chair a été exaltée à la droite du Père; aujourd’hui, en lui et avec lui, nous avons pris possession du Paradis.
En ce sens s’exprimait saint Augustin: « De même qu’il est monté au ciel sans nous quitter, ainsi l’y accompagnons-nous avant même que se réalisent les promesses faites à notre corps. Il est, lui, élevé au-dessus des cieux; et s’il a dit: « Nul ne monte au ciel que Celui qui en est descendu, le Fils de l’homme qui est au ciel »; ce n’est pas pour nous une raison de n’espérer point habiter, avec les anges, leur magnifique et céleste demeure. Ces paroles sont destinées à rappeler l’unité qui fait de lui notre Chef (notre Tête) et de nous son Corps. S’il monte au ciel, ce n’est pas pour se séparer de nous; car il en est descendu et il n’a garde de nous l’envier. Au contraire, il semble nous crier: Soyez mes membres, si vous voulez monter ici. Pour y arriver, déployons donc toute notre vigueur, aspirons-y de tous nos vœux. […] C’est alors que nous dépouillerons cette chair mortelle, dépouillons le vieil homme dès aujourd’hui. Le corps s’élèvera facilement au plus haut des cieux, pourvu que l’esprit ne soit pas accablé sous le fardeau de ses iniquités ».
Aussi c’est à l’occasion de la fête d’aujourd’hui que devrait devenir réelle dans notre vie cette parole de Jésus: « Où est ton trésor, là est ton cœur » (Mat VI, 21). Toute âme a son trésor, c’est ce qu’elle aime. Ce trésor l’âme le choisit où elle veut, en haut ou en bas. Mais dès qu’il est choisi, le cœur y est. Il va donc, ce cœur, en haut ou en bas.
S’il va en bas, c’est péché; s’il va en haut, c’est charité. Le cœur ici désigne les pensées et les affections. Donc, si Jésus est notre trésor, ou mieux, Jésus étant notre trésor, et Jésus étant dans les cieux, nos cœurs doivent être avec lui dans les cieux.
L’apôtre saint Paul dit que Dieu nous a fait mourir et être ensevelis et ressusciter et monter au ciel avec Notre-Seigneur.
Nous sommes donc, pour de vrai, avec lui dans les cieux. Car nous sommes là où est ce que nous aimons, et comme l’Eglise aime son Epoux, elle est avec lui partout.
La maison de l’Epoux est la maison de l’Epouse. Donc, quand nous entendons le «Sursum corda! » « Elevons notre cœur! » (au début de la Préface) ne fermons pas l’oreille, n’endurcissons pas nos cœurs; qu’ils courent au contraire, qu’ils volent là où est le trésor, là où est Jésus. « Sursum corda! ».
Jésus, montant au ciel, est couronné de gloire. Qu’il fait bon regarder des yeux de la foi Jésus dans les cieux. Saint Paul nous apprend que Jésus y est couronné de gloire.
Cette gloire est celle de son éternelle divinité, rejaillissant maintenant sur sa très sainte humanité. Elle couronne son âme et son corps; elle couronne, c’est-à-dire elle embellit, elle glorifie son âme avec toutes ses puissances; son corps avec tous ses membres. Toutes les souffrances, toutes les privations, toutes les humiliations du Fils de Dieu sur la terre ont leur gloire, leur couronne dans le ciel, car « qui s’abaisse sera élevé ».
Tous ces mystères ont là leur glorification, leur couronne; et c’est la joie des saints au Paradis de voir ces merveilles. Ces gloires du Fils de Dieu sont des gloires très éloquentes; et en voyant la couronne qui resplendit, par exemple, autour des plaies de la tête de Notre-Seigneur, les saints voient non seulement ces plaies, mais tous les fruits de ces plaies, toutes les grâces qui en sont découlées pour toutes les âmes; ils peuvent suivre dans le cours des siècles le fleuve de la grâce dans sa source et dans ses fruits; c’est une part de leur bonheur, et une des mille causes des actions de grâces et des bénédictions qu’ils rendent à Notre-Seigneur.
L’Evangile de ce jour se termine en nous disant que les disciples fixaient encore le ciel où Jésus s’en allait; leurs yeux le cherchaient, parce que leurs cœurs l’aimaient. Et ils virent deux anges resplendissants de blancheur, qui leur dirent: « Galiléens, pourquoi restez-vous là à regarder vers le ciel? » Jésus est loin du lieu que vos regards peuvent atteindre; mais cherchez-le toujours, attendez-le toujours; comme il est monté, il reviendra.
Il reviendra; toute la vie chrétienne consiste à l’attendre, à le désirer, à se préparer à son jugement. Tous les jours, au Credo, nous le disons: « Il viendra juger les vivants et les morts ». Il viendra, soyons prêts; il viendra juger, purifions-nous par le feu de la charité; il viendra comme l’Epoux pour les noces, attendons-le les reins ceints et les lampes allumées. Ce sera lui-même, notre Sauveur et notre Roi qui viendra; réjouissons-nous.
De lui, nous en voulons; de tout autre, non ; mais de notre bon Jésus, toujours. Il viendra, qu’il vienne !
Publié le 30 mai 2025
Année 2025-Homélie pour la solennité de l’Ascension de Notre Seigneur (JA).
L’Ascension de notre Seigneur.
Jésus est loin du lieu que vos regards peuvent atteindre; mais cherchez-le toujours, attendez-le toujours; comme il est monté, il reviendra. Il reviendra; toute la vie chrétienne consiste à l’attendre, à le désirer, à se préparer à son jugement.
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Notre-Seigneur a accompli l’œuvre que son Père lui avait donnée à faire sur la terre; il s’est abaissé, il doit être exalté; il a souffert, il doit être réjoui; il a vaincu, il doit triompher. L’heure est déjà là, le mystère de son Ascension couronne tous ses mystères.
Venu des cieux, il retourne aux cieux; mais quel chemin il a parcouru! Comme un divin soleil, il s’est levé sur nous, naissant de la Vierge; il a répandu dans le monde entier sa lumière et sa chaleur, lumière de la loi divine, chaleur de la charité; le voici arrivé à son midi et montant aux cieux à l’heure même de midi, il y demeurera et n’aura pas de déclin.
« Ô Père, l’heure est venue, glorifiez votre Fils! » C’était une prière de Jésus avant sa mort et il nous est bon de la répéter aujourd’hui à son Ascension: « ô Père, l’heure est venue, glorifiez votre Fils! ».
Aujourd’hui, Jésus est entré dans sa gloire; aujourd’hui, notre chair a été exaltée à la droite du Père; aujourd’hui, en lui et avec lui, nous avons pris possession du Paradis.
En ce sens s’exprimait saint Augustin: « De même qu’il est monté au ciel sans nous quitter, ainsi l’y accompagnons-nous avant même que se réalisent les promesses faites à notre corps. Il est, lui, élevé au-dessus des cieux; et s’il a dit: « Nul ne monte au ciel que Celui qui en est descendu, le Fils de l’homme qui est au ciel »; ce n’est pas pour nous une raison de n’espérer point habiter, avec les anges, leur magnifique et céleste demeure. Ces paroles sont destinées à rappeler l’unité qui fait de lui notre Chef (notre Tête) et de nous son Corps. S’il monte au ciel, ce n’est pas pour se séparer de nous; car il en est descendu et il n’a garde de nous l’envier. Au contraire, il semble nous crier: Soyez mes membres, si vous voulez monter ici. Pour y arriver, déployons donc toute notre vigueur, aspirons-y de tous nos vœux. […] C’est alors que nous dépouillerons cette chair mortelle, dépouillons le vieil homme dès aujourd’hui. Le corps s’élèvera facilement au plus haut des cieux, pourvu que l’esprit ne soit pas accablé sous le fardeau de ses iniquités ».
Aussi c’est à l’occasion de la fête d’aujourd’hui que devrait devenir réelle dans notre vie cette parole de Jésus: « Où est ton trésor, là est ton cœur » (Mat VI, 21). Toute âme a son trésor, c’est ce qu’elle aime. Ce trésor l’âme le choisit où elle veut, en haut ou en bas. Mais dès qu’il est choisi, le cœur y est. Il va donc, ce cœur, en haut ou en bas.
S’il va en bas, c’est péché; s’il va en haut, c’est charité. Le cœur ici désigne les pensées et les affections. Donc, si Jésus est notre trésor, ou mieux, Jésus étant notre trésor, et Jésus étant dans les cieux, nos cœurs doivent être avec lui dans les cieux.
L’apôtre saint Paul dit que Dieu nous a fait mourir et être ensevelis et ressusciter et monter au ciel avec Notre-Seigneur.
Nous sommes donc, pour de vrai, avec lui dans les cieux. Car nous sommes là où est ce que nous aimons, et comme l’Eglise aime son Epoux, elle est avec lui partout.
La maison de l’Epoux est la maison de l’Epouse. Donc, quand nous entendons le «Sursum corda! » « Elevons notre cœur! » (au début de la Préface) ne fermons pas l’oreille, n’endurcissons pas nos cœurs; qu’ils courent au contraire, qu’ils volent là où est le trésor, là où est Jésus. « Sursum corda! ».
Jésus, montant au ciel, est couronné de gloire. Qu’il fait bon regarder des yeux de la foi Jésus dans les cieux. Saint Paul nous apprend que Jésus y est couronné de gloire.
Cette gloire est celle de son éternelle divinité, rejaillissant maintenant sur sa très sainte humanité. Elle couronne son âme et son corps; elle couronne, c’est-à-dire elle embellit, elle glorifie son âme avec toutes ses puissances; son corps avec tous ses membres. Toutes les souffrances, toutes les privations, toutes les humiliations du Fils de Dieu sur la terre ont leur gloire, leur couronne dans le ciel, car « qui s’abaisse sera élevé ».
Tous ces mystères ont là leur glorification, leur couronne; et c’est la joie des saints au Paradis de voir ces merveilles. Ces gloires du Fils de Dieu sont des gloires très éloquentes; et en voyant la couronne qui resplendit, par exemple, autour des plaies de la tête de Notre-Seigneur, les saints voient non seulement ces plaies, mais tous les fruits de ces plaies, toutes les grâces qui en sont découlées pour toutes les âmes; ils peuvent suivre dans le cours des siècles le fleuve de la grâce dans sa source et dans ses fruits; c’est une part de leur bonheur, et une des mille causes des actions de grâces et des bénédictions qu’ils rendent à Notre-Seigneur.
L’Evangile de ce jour se termine en nous disant que les disciples fixaient encore le ciel où Jésus s’en allait; leurs yeux le cherchaient, parce que leurs cœurs l’aimaient. Et ils virent deux anges resplendissants de blancheur, qui leur dirent: « Galiléens, pourquoi restez-vous là à regarder vers le ciel? » Jésus est loin du lieu que vos regards peuvent atteindre; mais cherchez-le toujours, attendez-le toujours; comme il est monté, il reviendra.
Il reviendra; toute la vie chrétienne consiste à l’attendre, à le désirer, à se préparer à son jugement. Tous les jours, au Credo, nous le disons: « Il viendra juger les vivants et les morts ». Il viendra, soyons prêts; il viendra juger, purifions-nous par le feu de la charité; il viendra comme l’Epoux pour les noces, attendons-le les reins ceints et les lampes allumées. Ce sera lui-même, notre Sauveur et notre Roi qui viendra; réjouissons-nous.
De lui, nous en voulons; de tout autre, non ; mais de notre bon Jésus, toujours. Il viendra, qu’il vienne !
Publié le 30 mai 2025
Année 2025-Homélie pour la solennité de l’Ascension de Notre Seigneur (JA).

L’Ascension de notre Seigneur.
Jésus est loin du lieu que vos regards peuvent atteindre; mais cherchez-le toujours, attendez-le toujours; comme il est monté, il reviendra. Il reviendra; toute la vie chrétienne consiste à l’attendre, à le désirer, à se préparer à son jugement.
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Notre-Seigneur a accompli l’œuvre que son Père lui avait donnée à faire sur la terre; il s’est abaissé, il doit être exalté; il a souffert, il doit être réjoui; il a vaincu, il doit triompher. L’heure est déjà là, le mystère de son Ascension couronne tous ses mystères.
Venu des cieux, il retourne aux cieux; mais quel chemin il a parcouru! Comme un divin soleil, il s’est levé sur nous, naissant de la Vierge; il a répandu dans le monde entier sa lumière et sa chaleur, lumière de la loi divine, chaleur de la charité; le voici arrivé à son midi et montant aux cieux à l’heure même de midi, il y demeurera et n’aura pas de déclin.
« Ô Père, l’heure est venue, glorifiez votre Fils! » C’était une prière de Jésus avant sa mort et il nous est bon de la répéter aujourd’hui à son Ascension: « ô Père, l’heure est venue, glorifiez votre Fils! ».
Aujourd’hui, Jésus est entré dans sa gloire; aujourd’hui, notre chair a été exaltée à la droite du Père; aujourd’hui, en lui et avec lui, nous avons pris possession du Paradis.
En ce sens s’exprimait saint Augustin: « De même qu’il est monté au ciel sans nous quitter, ainsi l’y accompagnons-nous avant même que se réalisent les promesses faites à notre corps. Il est, lui, élevé au-dessus des cieux; et s’il a dit: « Nul ne monte au ciel que Celui qui en est descendu, le Fils de l’homme qui est au ciel »; ce n’est pas pour nous une raison de n’espérer point habiter, avec les anges, leur magnifique et céleste demeure. Ces paroles sont destinées à rappeler l’unité qui fait de lui notre Chef (notre Tête) et de nous son Corps. S’il monte au ciel, ce n’est pas pour se séparer de nous; car il en est descendu et il n’a garde de nous l’envier. Au contraire, il semble nous crier: Soyez mes membres, si vous voulez monter ici. Pour y arriver, déployons donc toute notre vigueur, aspirons-y de tous nos vœux. […] C’est alors que nous dépouillerons cette chair mortelle, dépouillons le vieil homme dès aujourd’hui. Le corps s’élèvera facilement au plus haut des cieux, pourvu que l’esprit ne soit pas accablé sous le fardeau de ses iniquités ».
Aussi c’est à l’occasion de la fête d’aujourd’hui que devrait devenir réelle dans notre vie cette parole de Jésus: « Où est ton trésor, là est ton cœur » (Mat VI, 21). Toute âme a son trésor, c’est ce qu’elle aime. Ce trésor l’âme le choisit où elle veut, en haut ou en bas. Mais dès qu’il est choisi, le cœur y est. Il va donc, ce cœur, en haut ou en bas.
S’il va en bas, c’est péché; s’il va en haut, c’est charité. Le cœur ici désigne les pensées et les affections. Donc, si Jésus est notre trésor, ou mieux, Jésus étant notre trésor, et Jésus étant dans les cieux, nos cœurs doivent être avec lui dans les cieux.
L’apôtre saint Paul dit que Dieu nous a fait mourir et être ensevelis et ressusciter et monter au ciel avec Notre-Seigneur.
Nous sommes donc, pour de vrai, avec lui dans les cieux. Car nous sommes là où est ce que nous aimons, et comme l’Eglise aime son Epoux, elle est avec lui partout.
La maison de l’Epoux est la maison de l’Epouse. Donc, quand nous entendons le «Sursum corda! » « Elevons notre cœur! » (au début de la Préface) ne fermons pas l’oreille, n’endurcissons pas nos cœurs; qu’ils courent au contraire, qu’ils volent là où est le trésor, là où est Jésus. « Sursum corda! ».
Jésus, montant au ciel, est couronné de gloire. Qu’il fait bon regarder des yeux de la foi Jésus dans les cieux. Saint Paul nous apprend que Jésus y est couronné de gloire.
Cette gloire est celle de son éternelle divinité, rejaillissant maintenant sur sa très sainte humanité. Elle couronne son âme et son corps; elle couronne, c’est-à-dire elle embellit, elle glorifie son âme avec toutes ses puissances; son corps avec tous ses membres. Toutes les souffrances, toutes les privations, toutes les humiliations du Fils de Dieu sur la terre ont leur gloire, leur couronne dans le ciel, car « qui s’abaisse sera élevé ».
Tous ces mystères ont là leur glorification, leur couronne; et c’est la joie des saints au Paradis de voir ces merveilles. Ces gloires du Fils de Dieu sont des gloires très éloquentes; et en voyant la couronne qui resplendit, par exemple, autour des plaies de la tête de Notre-Seigneur, les saints voient non seulement ces plaies, mais tous les fruits de ces plaies, toutes les grâces qui en sont découlées pour toutes les âmes; ils peuvent suivre dans le cours des siècles le fleuve de la grâce dans sa source et dans ses fruits; c’est une part de leur bonheur, et une des mille causes des actions de grâces et des bénédictions qu’ils rendent à Notre-Seigneur.
L’Evangile de ce jour se termine en nous disant que les disciples fixaient encore le ciel où Jésus s’en allait; leurs yeux le cherchaient, parce que leurs cœurs l’aimaient. Et ils virent deux anges resplendissants de blancheur, qui leur dirent: « Galiléens, pourquoi restez-vous là à regarder vers le ciel? » Jésus est loin du lieu que vos regards peuvent atteindre; mais cherchez-le toujours, attendez-le toujours; comme il est monté, il reviendra.
Il reviendra; toute la vie chrétienne consiste à l’attendre, à le désirer, à se préparer à son jugement. Tous les jours, au Credo, nous le disons: « Il viendra juger les vivants et les morts ». Il viendra, soyons prêts; il viendra juger, purifions-nous par le feu de la charité; il viendra comme l’Epoux pour les noces, attendons-le les reins ceints et les lampes allumées. Ce sera lui-même, notre Sauveur et notre Roi qui viendra; réjouissons-nous.
De lui, nous en voulons; de tout autre, non ; mais de notre bon Jésus, toujours. Il viendra, qu’il vienne !
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