Année 2024-Homélie pour le 5ème dimanche de Carême (JA).
Avant la Passion.
Aux approches de sa mort sur la croix, Jésus fait paraître les sentiments qui sont propres à notre humanité, une nature qui a horreur de la mort, et qui s’attache à la vie présente, et Il prouve ainsi qu’il est vraiment homme. Le corps de Jésus-Christ était pur de tout péché, mais il n’était pas libre des infirmités de notre nature.
Le récit de l’Evangile de ce dimanche commence par nous parler de l’arrivée des Grecs. Ces Grecs représentent le monde païen (ceux qui n’étaient pas juifs, ceux qui ne faisait pas partie du peuple élu). Leur arrivée dans l’Evangile est le symbole de l’universalité du salut: Jésus donne sa vie pour tous les hommes. Elle est aussi le signe que « l’heure » est venue.
« L’heure est venue où le Fils de l’homme doit être glorifié » nous dit Jésus, et il continue en parlant de sa mort. Car sa glorification c’est le mystère de sa mort et de sa résurrection.
Jésus emploie d’abord la parabole du « grain de blé » qui doit mourir pour fructifier: qu’il soit enterré pour devenir une tige qui porte beaucoup de fruit (les épis et les graines) ou qu’il soit broyé, moulu pour faire de la farine et du pain.
Et il continue : « Qui aime sa vie la perd ; qui s’en détache en ce monde la gardera pour la vie éternelle ».
« Comme il prévoyait que sa mort devait jeter ses disciples dans une profonde tristesse, Jésus expose pleinement la doctrine de la croix, et semble dire à ses disciples: Il ne suffit pas que vous supportiez ma mort avec patience ; si vous ne mourez vous-mêmes, vous n’avez aucun fruit à espérer de ma mort : celui qui aime son âme, la perdra » (saint Jean Chrysostome).
Or, « aimer son âme en ce monde », cela veut dire satisfaire ses désirs mauvais ; « s’en détacher » ou comme traduisent d’autres versions de la Bible « haïr son âme », c’est résister à ses désirs coupables, dire « non » aux mauvais désirs. Lorsque nous avons de la haine contre quelqu’un, nous ne pouvons pas entendre sa voix, sa présence nous est désagréable; ainsi lorsque notre âme nous suggère des pensées contraires à la loi de Dieu, nous devons la repousser avec horreur, nous dit encore saint Jean Chrysostome.
Jésus, en ajoutant « en ce monde » veut nous annoncer la brièveté de l’épreuve, ce n’est pas une épreuve éternelle… notre vie… qu’est-ce que cela comparé à l’éternité? Rien! ; et il nous fait savoir quel sera le prix de ce sacrifice: « Il la conservera pour la vie éternelle »… voilà: la récompense, par contre, sera éternelle.
Saint Augustin nous prévient : « En entendant ces paroles prenez garde de vous laisser aller à la pensée de vous donner la mort à vous-même par une fausse interprétation de ce précepte. Ce n’est pas ce que Jésus-Christ a enseigné; au contraire, lorsque le démon, lors de la tentation au désert, lui a conseillé de se jeter du haut du temple, il lui répondit : « Retire-toi, Satan »».
Ensuite Jésus nous invite à le suivre: « Si quelqu’un veut être mon serviteur, qu’il me suive » ; c’est-à-dire, qu’il marche sur mes traces. Le Sauveur veut parler ici de la mort et de l’imitation par les œuvres, car le serviteur doit nécessairement suivre celui qu’il sert (Saint Jean Chrysostome).
Servir Jésus, c’est donc ne pas chercher ses intérêts, mais ceux de Jésus-Christ. C’est ce que signifient ces paroles : « Qu’il me suive, » c’est-à-dire, qu’il marche dans mes voies, et non dans les siennes ; qu’il ne se contente pas des œuvres extérieures de miséricorde, mais qu’il fasse toutes ses bonnes œuvres pour Jésus-Christ, jusqu’à cette œuvre de charité héroïque qui consiste à donner sa vie pour ses frères.
Mais quel en sera le fruit, quelle en sera la récompense? « Et là où moi je suis, là aussi sera mon serviteur ». La récompense sera d’être avec lui au Ciel (Saint Augustin).
Notre-Seigneur nous apprend ainsi que la mort sera suivie de la résurrection: il dit : « Là où je suis, » parce qu’avant même sa résurrection, il était dans ciel; c’est donc là que nous devons transporter nos pensées et nos affections (Saint Jean Chrysostome, hom. 67).
« Si quelqu’un me sert, mon Père l’honorera ». C’est l’explication de ces paroles : « Où je suis, là sera aussi mon serviteur ». Car, quel plus grand honneur pour le fils adoptif, que d’être là où est le Fils unique? (Saint Augustin).
« Maintenant mon âme est bouleversée ». Aux approches de sa mort sur la croix, Jésus fait paraître les sentiments qui sont propres à notre humanité, une nature qui a horreur de la mort, et qui s’attache à la vie présente, et Il prouve ainsi qu’il est vraiment homme. Le corps de Jésus-Christ était pur de tout péché, mais il n’était pas libre des infirmités de notre nature.(Saint Jean Chrysostome, hom. 67).
Jésus ajoute : « Et que dirai-je? ». C’est ainsi qu’il nous montre celui que nous devons invoquer, celui à la volonté duquel nous devons subordonner la nôtre; Jésus a pris sur lui nos infirmités, pour enseigner particulièrement à ceux qui sont dans la tristesse, à dire : « Père, Non ce que je veux, mais ce que vous voulez ». C’est ce que signifient les paroles suivantes : « Mais c’est pour cela que je suis arrivé à cette heure » (Saint Augustin). Jésus, son âme est bouleversée, troublée… mais il accepte la volonté du Père.
Il ne dit pas: « Père, délivrez-moi de cette heure», mais au contraire: «Père, glorifiez votre nom ».
Et la voix du Père se fit entendre : « Je l’ai glorifié et je le glorifierai encore ».
Finalement, et encore pour notre consolation, l’heure de Jésus, sa croix, comporte et réalise très efficacement la victoire sur le diable : « Maintenant a lieu le jugement de ce monde ; maintenant le prince de ce monde va être jeté dehors ».
A l’approche de son heure, de sa Passion et de sa Résurrection, laissons-nous attirer par Jésus, suivons Le comme des bons serviteurs afin d’avoir part avec Lui, là où il est, dans la béatitude éternelle du Ciel.
Publié le 18 mars 2024
Année 2024-Homélie pour le 5ème dimanche de Carême (JA).
Avant la Passion.
Aux approches de sa mort sur la croix, Jésus fait paraître les sentiments qui sont propres à notre humanité, une nature qui a horreur de la mort, et qui s’attache à la vie présente, et Il prouve ainsi qu’il est vraiment homme. Le corps de Jésus-Christ était pur de tout péché, mais il n’était pas libre des infirmités de notre nature.
Le récit de l’Evangile de ce dimanche commence par nous parler de l’arrivée des Grecs. Ces Grecs représentent le monde païen (ceux qui n’étaient pas juifs, ceux qui ne faisait pas partie du peuple élu). Leur arrivée dans l’Evangile est le symbole de l’universalité du salut: Jésus donne sa vie pour tous les hommes. Elle est aussi le signe que « l’heure » est venue.
« L’heure est venue où le Fils de l’homme doit être glorifié » nous dit Jésus, et il continue en parlant de sa mort. Car sa glorification c’est le mystère de sa mort et de sa résurrection.
Jésus emploie d’abord la parabole du « grain de blé » qui doit mourir pour fructifier: qu’il soit enterré pour devenir une tige qui porte beaucoup de fruit (les épis et les graines) ou qu’il soit broyé, moulu pour faire de la farine et du pain.
Et il continue : « Qui aime sa vie la perd ; qui s’en détache en ce monde la gardera pour la vie éternelle ».
« Comme il prévoyait que sa mort devait jeter ses disciples dans une profonde tristesse, Jésus expose pleinement la doctrine de la croix, et semble dire à ses disciples: Il ne suffit pas que vous supportiez ma mort avec patience ; si vous ne mourez vous-mêmes, vous n’avez aucun fruit à espérer de ma mort : celui qui aime son âme, la perdra » (saint Jean Chrysostome).
Or, « aimer son âme en ce monde », cela veut dire satisfaire ses désirs mauvais ; « s’en détacher » ou comme traduisent d’autres versions de la Bible « haïr son âme », c’est résister à ses désirs coupables, dire « non » aux mauvais désirs. Lorsque nous avons de la haine contre quelqu’un, nous ne pouvons pas entendre sa voix, sa présence nous est désagréable; ainsi lorsque notre âme nous suggère des pensées contraires à la loi de Dieu, nous devons la repousser avec horreur, nous dit encore saint Jean Chrysostome.
Jésus, en ajoutant « en ce monde » veut nous annoncer la brièveté de l’épreuve, ce n’est pas une épreuve éternelle… notre vie… qu’est-ce que cela comparé à l’éternité? Rien! ; et il nous fait savoir quel sera le prix de ce sacrifice: « Il la conservera pour la vie éternelle »… voilà: la récompense, par contre, sera éternelle.
Saint Augustin nous prévient : « En entendant ces paroles prenez garde de vous laisser aller à la pensée de vous donner la mort à vous-même par une fausse interprétation de ce précepte. Ce n’est pas ce que Jésus-Christ a enseigné; au contraire, lorsque le démon, lors de la tentation au désert, lui a conseillé de se jeter du haut du temple, il lui répondit : « Retire-toi, Satan »».
Ensuite Jésus nous invite à le suivre: « Si quelqu’un veut être mon serviteur, qu’il me suive » ; c’est-à-dire, qu’il marche sur mes traces. Le Sauveur veut parler ici de la mort et de l’imitation par les œuvres, car le serviteur doit nécessairement suivre celui qu’il sert (Saint Jean Chrysostome).
Servir Jésus, c’est donc ne pas chercher ses intérêts, mais ceux de Jésus-Christ. C’est ce que signifient ces paroles : « Qu’il me suive, » c’est-à-dire, qu’il marche dans mes voies, et non dans les siennes ; qu’il ne se contente pas des œuvres extérieures de miséricorde, mais qu’il fasse toutes ses bonnes œuvres pour Jésus-Christ, jusqu’à cette œuvre de charité héroïque qui consiste à donner sa vie pour ses frères.
Mais quel en sera le fruit, quelle en sera la récompense? « Et là où moi je suis, là aussi sera mon serviteur ». La récompense sera d’être avec lui au Ciel (Saint Augustin).
Notre-Seigneur nous apprend ainsi que la mort sera suivie de la résurrection: il dit : « Là où je suis, » parce qu’avant même sa résurrection, il était dans ciel; c’est donc là que nous devons transporter nos pensées et nos affections (Saint Jean Chrysostome, hom. 67).
« Si quelqu’un me sert, mon Père l’honorera ». C’est l’explication de ces paroles : « Où je suis, là sera aussi mon serviteur ». Car, quel plus grand honneur pour le fils adoptif, que d’être là où est le Fils unique? (Saint Augustin).
« Maintenant mon âme est bouleversée ». Aux approches de sa mort sur la croix, Jésus fait paraître les sentiments qui sont propres à notre humanité, une nature qui a horreur de la mort, et qui s’attache à la vie présente, et Il prouve ainsi qu’il est vraiment homme. Le corps de Jésus-Christ était pur de tout péché, mais il n’était pas libre des infirmités de notre nature.(Saint Jean Chrysostome, hom. 67).
Jésus ajoute : « Et que dirai-je? ». C’est ainsi qu’il nous montre celui que nous devons invoquer, celui à la volonté duquel nous devons subordonner la nôtre; Jésus a pris sur lui nos infirmités, pour enseigner particulièrement à ceux qui sont dans la tristesse, à dire : « Père, Non ce que je veux, mais ce que vous voulez ». C’est ce que signifient les paroles suivantes : « Mais c’est pour cela que je suis arrivé à cette heure » (Saint Augustin). Jésus, son âme est bouleversée, troublée… mais il accepte la volonté du Père.
Il ne dit pas: « Père, délivrez-moi de cette heure», mais au contraire: «Père, glorifiez votre nom ».
Et la voix du Père se fit entendre : « Je l’ai glorifié et je le glorifierai encore ».
Finalement, et encore pour notre consolation, l’heure de Jésus, sa croix, comporte et réalise très efficacement la victoire sur le diable : « Maintenant a lieu le jugement de ce monde ; maintenant le prince de ce monde va être jeté dehors ».
A l’approche de son heure, de sa Passion et de sa Résurrection, laissons-nous attirer par Jésus, suivons Le comme des bons serviteurs afin d’avoir part avec Lui, là où il est, dans la béatitude éternelle du Ciel.
Publié le 18 mars 2024
Année 2024-Homélie pour le 5ème dimanche de Carême (JA).
Avant la Passion.
Aux approches de sa mort sur la croix, Jésus fait paraître les sentiments qui sont propres à notre humanité, une nature qui a horreur de la mort, et qui s’attache à la vie présente, et Il prouve ainsi qu’il est vraiment homme. Le corps de Jésus-Christ était pur de tout péché, mais il n’était pas libre des infirmités de notre nature.
Le récit de l’Evangile de ce dimanche commence par nous parler de l’arrivée des Grecs. Ces Grecs représentent le monde païen (ceux qui n’étaient pas juifs, ceux qui ne faisait pas partie du peuple élu). Leur arrivée dans l’Evangile est le symbole de l’universalité du salut: Jésus donne sa vie pour tous les hommes. Elle est aussi le signe que « l’heure » est venue.
« L’heure est venue où le Fils de l’homme doit être glorifié » nous dit Jésus, et il continue en parlant de sa mort. Car sa glorification c’est le mystère de sa mort et de sa résurrection.
Jésus emploie d’abord la parabole du « grain de blé » qui doit mourir pour fructifier: qu’il soit enterré pour devenir une tige qui porte beaucoup de fruit (les épis et les graines) ou qu’il soit broyé, moulu pour faire de la farine et du pain.
Et il continue : « Qui aime sa vie la perd ; qui s’en détache en ce monde la gardera pour la vie éternelle ».
« Comme il prévoyait que sa mort devait jeter ses disciples dans une profonde tristesse, Jésus expose pleinement la doctrine de la croix, et semble dire à ses disciples: Il ne suffit pas que vous supportiez ma mort avec patience ; si vous ne mourez vous-mêmes, vous n’avez aucun fruit à espérer de ma mort : celui qui aime son âme, la perdra » (saint Jean Chrysostome).
Or, « aimer son âme en ce monde », cela veut dire satisfaire ses désirs mauvais ; « s’en détacher » ou comme traduisent d’autres versions de la Bible « haïr son âme », c’est résister à ses désirs coupables, dire « non » aux mauvais désirs. Lorsque nous avons de la haine contre quelqu’un, nous ne pouvons pas entendre sa voix, sa présence nous est désagréable; ainsi lorsque notre âme nous suggère des pensées contraires à la loi de Dieu, nous devons la repousser avec horreur, nous dit encore saint Jean Chrysostome.
Jésus, en ajoutant « en ce monde » veut nous annoncer la brièveté de l’épreuve, ce n’est pas une épreuve éternelle… notre vie… qu’est-ce que cela comparé à l’éternité? Rien! ; et il nous fait savoir quel sera le prix de ce sacrifice: « Il la conservera pour la vie éternelle »… voilà: la récompense, par contre, sera éternelle.
Saint Augustin nous prévient : « En entendant ces paroles prenez garde de vous laisser aller à la pensée de vous donner la mort à vous-même par une fausse interprétation de ce précepte. Ce n’est pas ce que Jésus-Christ a enseigné; au contraire, lorsque le démon, lors de la tentation au désert, lui a conseillé de se jeter du haut du temple, il lui répondit : « Retire-toi, Satan »».
Ensuite Jésus nous invite à le suivre: « Si quelqu’un veut être mon serviteur, qu’il me suive » ; c’est-à-dire, qu’il marche sur mes traces. Le Sauveur veut parler ici de la mort et de l’imitation par les œuvres, car le serviteur doit nécessairement suivre celui qu’il sert (Saint Jean Chrysostome).
Servir Jésus, c’est donc ne pas chercher ses intérêts, mais ceux de Jésus-Christ. C’est ce que signifient ces paroles : « Qu’il me suive, » c’est-à-dire, qu’il marche dans mes voies, et non dans les siennes ; qu’il ne se contente pas des œuvres extérieures de miséricorde, mais qu’il fasse toutes ses bonnes œuvres pour Jésus-Christ, jusqu’à cette œuvre de charité héroïque qui consiste à donner sa vie pour ses frères.
Mais quel en sera le fruit, quelle en sera la récompense? « Et là où moi je suis, là aussi sera mon serviteur ». La récompense sera d’être avec lui au Ciel (Saint Augustin).
Notre-Seigneur nous apprend ainsi que la mort sera suivie de la résurrection: il dit : « Là où je suis, » parce qu’avant même sa résurrection, il était dans ciel; c’est donc là que nous devons transporter nos pensées et nos affections (Saint Jean Chrysostome, hom. 67).
« Si quelqu’un me sert, mon Père l’honorera ». C’est l’explication de ces paroles : « Où je suis, là sera aussi mon serviteur ». Car, quel plus grand honneur pour le fils adoptif, que d’être là où est le Fils unique? (Saint Augustin).
« Maintenant mon âme est bouleversée ». Aux approches de sa mort sur la croix, Jésus fait paraître les sentiments qui sont propres à notre humanité, une nature qui a horreur de la mort, et qui s’attache à la vie présente, et Il prouve ainsi qu’il est vraiment homme. Le corps de Jésus-Christ était pur de tout péché, mais il n’était pas libre des infirmités de notre nature.(Saint Jean Chrysostome, hom. 67).
Jésus ajoute : « Et que dirai-je? ». C’est ainsi qu’il nous montre celui que nous devons invoquer, celui à la volonté duquel nous devons subordonner la nôtre; Jésus a pris sur lui nos infirmités, pour enseigner particulièrement à ceux qui sont dans la tristesse, à dire : « Père, Non ce que je veux, mais ce que vous voulez ». C’est ce que signifient les paroles suivantes : « Mais c’est pour cela que je suis arrivé à cette heure » (Saint Augustin). Jésus, son âme est bouleversée, troublée… mais il accepte la volonté du Père.
Il ne dit pas: « Père, délivrez-moi de cette heure», mais au contraire: «Père, glorifiez votre nom ».
Et la voix du Père se fit entendre : « Je l’ai glorifié et je le glorifierai encore ».
Finalement, et encore pour notre consolation, l’heure de Jésus, sa croix, comporte et réalise très efficacement la victoire sur le diable : « Maintenant a lieu le jugement de ce monde ; maintenant le prince de ce monde va être jeté dehors ».
A l’approche de son heure, de sa Passion et de sa Résurrection, laissons-nous attirer par Jésus, suivons Le comme des bons serviteurs afin d’avoir part avec Lui, là où il est, dans la béatitude éternelle du Ciel.
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Publié le 18 mars 2024