Année 2024-Homélie pour le 19ème dimanche du temps ordinaire (JA).
« Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel : si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement » (Jn 6, 50).Préparons notre cœur à recevoir notre Seigneur le moins indignement possible. N’hésitons pas à nous confesser souvent afin de détester de plus en plus le péché et d’augmenter aussi notre repentir, et que cela nous amène à avoir une charité plus parfaite.
Notre Seigneur dans le passage évangélique de ce dimanche se présente comme le Pain de la vie, comme le Pain vivant, le Pain qui donne la vie éternelle à celui qui le mange.
Voilà encore un autre aspect de l’Eucharistie: dimanche dernier nous l’avons considérée comme le « Pain des forts » ou qui donne la force; ce dimanche elle nous est présentée comme: le Pain vivant qui donne la vie, la vie éternelle.
La raison de cela c’est que l’Eucharistie contient en elle-même Dieu, l’unique Dieu, le Créateur, le Dieu fait homme. Et en se donnant, ce Dieu d’amour nous communique sa vie qui est éternelle.
Ainsi le saint Curé d’Ars affirmait: « Mais la nourriture de l’âme, c’est le corps et le sang d’un Dieu. Oh! Belle nourriture! Il y a de quoi, si l’on y pensait, se perdre dans l’éternité. Mon Père, c’est Dieu; mon bien, c’est le Ciel; ma nourriture est le corps et le sang de Dieu même. Oh homme, que tu es heureux! Tu es fait pour adorer, recevoir, aimer Dieu. Qu’heureuses sont ces âmes pures qui ont le bonheur de s’unir à Dieu par la communion! Que le pauvre pêcheur est malheureux de ne pas aimer un Dieu qui nous aime tant! O mon âme, que tu es heureuse! Tu as le corps d’un Dieu pour nourriture et son sang, pour breuvage. »
« O mon âme, que tu es grande, puisque Dieu seul peut te contenter! Les trois Personnes divines habitent dans cette âme. C’est un petit Ciel, lorsque Notre Seigneur vient habiter une âme pure, il est content et remplit l’âme de joie et de bonheur et lui communique cet amour généreux de tout faire et souffrir pour lui plaire. C’est bien humiliant pour le Bon Dieu de venir dans un cœur humain, mais c’est pour y trouver cette âme qu’il aime, qu’il a rachetée au prix de son sang. Si cette âme est pure, il est content, un bien extraordinaire se répand en nous. »
L’Eglise, fondée sur la Parole de Dieu et la Tradition a toujours enseigné et insisté sur la préparation nécessaire pour recevoir dignement le Corps et le Sang du Christ dans la communion.
L’Esprit Saint dans la 1ère lettre aux Corinthiens affirme (26-29) : « Ainsi donc, chaque fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous proclamez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne. Et celui qui aura mangé le pain ou bu la coupe du Seigneur d’une manière indigne devra répondre du corps et du sang du Seigneur. On doit donc s’examiner soi-même avant de manger de ce pain et de boire à cette coupe. Celui qui mange et qui boit mange et boit son propre jugement s’il ne discerne pas le corps du Seigneur ».
La séquence Lauda Sion(couplés 17 et 18) composée par Saint Thomas d’Aquin à l’occasion de l’institution de la Fête-Dieu et qui constitue un résumé de catéchèse sur l’Eucharistie enseigne pareillement: « Les bons s’en approchent pour communier, les méchants aussi; mais, pour un sort différent, les uns trouvent la vie, les autres la mort. Il est la mort des méchants, et la vie des bons; la nourriture a été la même, mais hélas, quels effets bien différents ».
L’Eglise nous prévient ainsi d’un péché bien grave qu’on appelle « sacrilège »: recevoir le corps du Christ dans un cœur qui « ne s’est pas examiné soi-même » à la lumière de la Loi divine (les 10 commandements, les préceptes de l’Eglise) pour savoir s’il a besoin ou pas d’une purification par le sacrement de la confession. C’est de cette manière que le Pain de la vie éternelle, peut pour certains causer la mort éternelle.
Préparons donc notre cœur à recevoir notre Seigneur le moins indignement possible. N’hésitons pas à nous confesser souvent afin de détester de plus en plus le péché et d’augmenter aussi notre repentir, et que cela nous amène à avoir une charité plus parfaite.
Nous voyons qu’à la messe toutes les prières sont une préparation à la communion (signe de croix, je confesse, kyrie eleison…); et toute la vie d’un chrétien doit être une préparation à cette grande action: car c’est en elle que nous trouvons notre Vie Éternelle.
Le saint Curé d’Ars bien conscient de la faiblesse humaine et en même temps du grand respect dû à notre Seigneur dans le Saint Sacrement de l’Eucharistie, invitait ses fidèles à avoir une grande humilité, à détester le péché, chose qui se manifeste particulièrement dans la confession et à s’approcher ensuite de la communion :
« Allez à la communion, mes enfants, allez à Jésus avec amour et confiance! Allez vivre de lui, afin de vivre en lui! Ne dites pas que vous avez trop à faire. Le divin Sauveur n’a-t-il pas dit: « Venez à moi, vous tous qui travaillez et qui n’en pouvez plus. Venez à moi et je vous soulagerai ». Pourriez-vous résister à une invitation si pleine de tendresse et d’amitié? Ne dites pas que vous n’en êtes pas dignes. C’est vrai, vous n’en êtes pas dignes, mais vous en avez besoin. Si Notre Seigneur avait en vue notre dignité, il n’aurait jamais institué son beau sacrement d’amour; car personne au monde n’en est digne, ni les saints, ni les anges, ni les archanges, ni la sainte Vierge. Mais il a eu en vue nos besoins, et nous en avons tous besoin. Ne dites pas que vous êtes pécheurs, que vous avez trop de misères et que c’est pour cela que vous n’osez pas en approcher. J’aimerais autant vous entendre dire que vous êtes trop malades, et que c’est pour cela que vous ne voulez pas de remède, que vous ne voulez pas appeler le médecin ».
« Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel: si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement ». Que notre bon Jésus nous accorde la grâce de le recevoir en communion de telle sorte qu’il nous communique la vie éternelle.
Publié le 12 août 2024
Année 2024-Homélie pour le 19ème dimanche du temps ordinaire (JA).
« Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel : si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement » (Jn 6, 50).Préparons notre cœur à recevoir notre Seigneur le moins indignement possible. N’hésitons pas à nous confesser souvent afin de détester de plus en plus le péché et d’augmenter aussi notre repentir, et que cela nous amène à avoir une charité plus parfaite.
Notre Seigneur dans le passage évangélique de ce dimanche se présente comme le Pain de la vie, comme le Pain vivant, le Pain qui donne la vie éternelle à celui qui le mange.
Voilà encore un autre aspect de l’Eucharistie: dimanche dernier nous l’avons considérée comme le « Pain des forts » ou qui donne la force; ce dimanche elle nous est présentée comme: le Pain vivant qui donne la vie, la vie éternelle.
La raison de cela c’est que l’Eucharistie contient en elle-même Dieu, l’unique Dieu, le Créateur, le Dieu fait homme. Et en se donnant, ce Dieu d’amour nous communique sa vie qui est éternelle.
Ainsi le saint Curé d’Ars affirmait: « Mais la nourriture de l’âme, c’est le corps et le sang d’un Dieu. Oh! Belle nourriture! Il y a de quoi, si l’on y pensait, se perdre dans l’éternité. Mon Père, c’est Dieu; mon bien, c’est le Ciel; ma nourriture est le corps et le sang de Dieu même. Oh homme, que tu es heureux! Tu es fait pour adorer, recevoir, aimer Dieu. Qu’heureuses sont ces âmes pures qui ont le bonheur de s’unir à Dieu par la communion! Que le pauvre pêcheur est malheureux de ne pas aimer un Dieu qui nous aime tant! O mon âme, que tu es heureuse! Tu as le corps d’un Dieu pour nourriture et son sang, pour breuvage. »
« O mon âme, que tu es grande, puisque Dieu seul peut te contenter! Les trois Personnes divines habitent dans cette âme. C’est un petit Ciel, lorsque Notre Seigneur vient habiter une âme pure, il est content et remplit l’âme de joie et de bonheur et lui communique cet amour généreux de tout faire et souffrir pour lui plaire. C’est bien humiliant pour le Bon Dieu de venir dans un cœur humain, mais c’est pour y trouver cette âme qu’il aime, qu’il a rachetée au prix de son sang. Si cette âme est pure, il est content, un bien extraordinaire se répand en nous. »
L’Eglise, fondée sur la Parole de Dieu et la Tradition a toujours enseigné et insisté sur la préparation nécessaire pour recevoir dignement le Corps et le Sang du Christ dans la communion.
L’Esprit Saint dans la 1ère lettre aux Corinthiens affirme (26-29) : « Ainsi donc, chaque fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous proclamez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne. Et celui qui aura mangé le pain ou bu la coupe du Seigneur d’une manière indigne devra répondre du corps et du sang du Seigneur. On doit donc s’examiner soi-même avant de manger de ce pain et de boire à cette coupe. Celui qui mange et qui boit mange et boit son propre jugement s’il ne discerne pas le corps du Seigneur ».
La séquence Lauda Sion(couplés 17 et 18) composée par Saint Thomas d’Aquin à l’occasion de l’institution de la Fête-Dieu et qui constitue un résumé de catéchèse sur l’Eucharistie enseigne pareillement: « Les bons s’en approchent pour communier, les méchants aussi; mais, pour un sort différent, les uns trouvent la vie, les autres la mort. Il est la mort des méchants, et la vie des bons; la nourriture a été la même, mais hélas, quels effets bien différents ».
L’Eglise nous prévient ainsi d’un péché bien grave qu’on appelle « sacrilège »: recevoir le corps du Christ dans un cœur qui « ne s’est pas examiné soi-même » à la lumière de la Loi divine (les 10 commandements, les préceptes de l’Eglise) pour savoir s’il a besoin ou pas d’une purification par le sacrement de la confession. C’est de cette manière que le Pain de la vie éternelle, peut pour certains causer la mort éternelle.
Préparons donc notre cœur à recevoir notre Seigneur le moins indignement possible. N’hésitons pas à nous confesser souvent afin de détester de plus en plus le péché et d’augmenter aussi notre repentir, et que cela nous amène à avoir une charité plus parfaite.
Nous voyons qu’à la messe toutes les prières sont une préparation à la communion (signe de croix, je confesse, kyrie eleison…); et toute la vie d’un chrétien doit être une préparation à cette grande action: car c’est en elle que nous trouvons notre Vie Éternelle.
Le saint Curé d’Ars bien conscient de la faiblesse humaine et en même temps du grand respect dû à notre Seigneur dans le Saint Sacrement de l’Eucharistie, invitait ses fidèles à avoir une grande humilité, à détester le péché, chose qui se manifeste particulièrement dans la confession et à s’approcher ensuite de la communion :
« Allez à la communion, mes enfants, allez à Jésus avec amour et confiance! Allez vivre de lui, afin de vivre en lui! Ne dites pas que vous avez trop à faire. Le divin Sauveur n’a-t-il pas dit: « Venez à moi, vous tous qui travaillez et qui n’en pouvez plus. Venez à moi et je vous soulagerai ». Pourriez-vous résister à une invitation si pleine de tendresse et d’amitié? Ne dites pas que vous n’en êtes pas dignes. C’est vrai, vous n’en êtes pas dignes, mais vous en avez besoin. Si Notre Seigneur avait en vue notre dignité, il n’aurait jamais institué son beau sacrement d’amour; car personne au monde n’en est digne, ni les saints, ni les anges, ni les archanges, ni la sainte Vierge. Mais il a eu en vue nos besoins, et nous en avons tous besoin. Ne dites pas que vous êtes pécheurs, que vous avez trop de misères et que c’est pour cela que vous n’osez pas en approcher. J’aimerais autant vous entendre dire que vous êtes trop malades, et que c’est pour cela que vous ne voulez pas de remède, que vous ne voulez pas appeler le médecin ».
« Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel: si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement ». Que notre bon Jésus nous accorde la grâce de le recevoir en communion de telle sorte qu’il nous communique la vie éternelle.
Publié le 12 août 2024
Année 2024-Homélie pour le 19ème dimanche du temps ordinaire (JA).
« Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel : si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement » (Jn 6, 50).Préparons notre cœur à recevoir notre Seigneur le moins indignement possible. N’hésitons pas à nous confesser souvent afin de détester de plus en plus le péché et d’augmenter aussi notre repentir, et que cela nous amène à avoir une charité plus parfaite.
Notre Seigneur dans le passage évangélique de ce dimanche se présente comme le Pain de la vie, comme le Pain vivant, le Pain qui donne la vie éternelle à celui qui le mange.
Voilà encore un autre aspect de l’Eucharistie: dimanche dernier nous l’avons considérée comme le « Pain des forts » ou qui donne la force; ce dimanche elle nous est présentée comme: le Pain vivant qui donne la vie, la vie éternelle.
La raison de cela c’est que l’Eucharistie contient en elle-même Dieu, l’unique Dieu, le Créateur, le Dieu fait homme. Et en se donnant, ce Dieu d’amour nous communique sa vie qui est éternelle.
Ainsi le saint Curé d’Ars affirmait: « Mais la nourriture de l’âme, c’est le corps et le sang d’un Dieu. Oh! Belle nourriture! Il y a de quoi, si l’on y pensait, se perdre dans l’éternité. Mon Père, c’est Dieu; mon bien, c’est le Ciel; ma nourriture est le corps et le sang de Dieu même. Oh homme, que tu es heureux! Tu es fait pour adorer, recevoir, aimer Dieu. Qu’heureuses sont ces âmes pures qui ont le bonheur de s’unir à Dieu par la communion! Que le pauvre pêcheur est malheureux de ne pas aimer un Dieu qui nous aime tant! O mon âme, que tu es heureuse! Tu as le corps d’un Dieu pour nourriture et son sang, pour breuvage. »
« O mon âme, que tu es grande, puisque Dieu seul peut te contenter! Les trois Personnes divines habitent dans cette âme. C’est un petit Ciel, lorsque Notre Seigneur vient habiter une âme pure, il est content et remplit l’âme de joie et de bonheur et lui communique cet amour généreux de tout faire et souffrir pour lui plaire. C’est bien humiliant pour le Bon Dieu de venir dans un cœur humain, mais c’est pour y trouver cette âme qu’il aime, qu’il a rachetée au prix de son sang. Si cette âme est pure, il est content, un bien extraordinaire se répand en nous. »
L’Eglise, fondée sur la Parole de Dieu et la Tradition a toujours enseigné et insisté sur la préparation nécessaire pour recevoir dignement le Corps et le Sang du Christ dans la communion.
L’Esprit Saint dans la 1ère lettre aux Corinthiens affirme (26-29) : « Ainsi donc, chaque fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous proclamez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne. Et celui qui aura mangé le pain ou bu la coupe du Seigneur d’une manière indigne devra répondre du corps et du sang du Seigneur. On doit donc s’examiner soi-même avant de manger de ce pain et de boire à cette coupe. Celui qui mange et qui boit mange et boit son propre jugement s’il ne discerne pas le corps du Seigneur ».
La séquence Lauda Sion(couplés 17 et 18) composée par Saint Thomas d’Aquin à l’occasion de l’institution de la Fête-Dieu et qui constitue un résumé de catéchèse sur l’Eucharistie enseigne pareillement: « Les bons s’en approchent pour communier, les méchants aussi; mais, pour un sort différent, les uns trouvent la vie, les autres la mort. Il est la mort des méchants, et la vie des bons; la nourriture a été la même, mais hélas, quels effets bien différents ».
L’Eglise nous prévient ainsi d’un péché bien grave qu’on appelle « sacrilège »: recevoir le corps du Christ dans un cœur qui « ne s’est pas examiné soi-même » à la lumière de la Loi divine (les 10 commandements, les préceptes de l’Eglise) pour savoir s’il a besoin ou pas d’une purification par le sacrement de la confession. C’est de cette manière que le Pain de la vie éternelle, peut pour certains causer la mort éternelle.
Préparons donc notre cœur à recevoir notre Seigneur le moins indignement possible. N’hésitons pas à nous confesser souvent afin de détester de plus en plus le péché et d’augmenter aussi notre repentir, et que cela nous amène à avoir une charité plus parfaite.
Nous voyons qu’à la messe toutes les prières sont une préparation à la communion (signe de croix, je confesse, kyrie eleison…); et toute la vie d’un chrétien doit être une préparation à cette grande action: car c’est en elle que nous trouvons notre Vie Éternelle.
Le saint Curé d’Ars bien conscient de la faiblesse humaine et en même temps du grand respect dû à notre Seigneur dans le Saint Sacrement de l’Eucharistie, invitait ses fidèles à avoir une grande humilité, à détester le péché, chose qui se manifeste particulièrement dans la confession et à s’approcher ensuite de la communion :
« Allez à la communion, mes enfants, allez à Jésus avec amour et confiance! Allez vivre de lui, afin de vivre en lui! Ne dites pas que vous avez trop à faire. Le divin Sauveur n’a-t-il pas dit: « Venez à moi, vous tous qui travaillez et qui n’en pouvez plus. Venez à moi et je vous soulagerai ». Pourriez-vous résister à une invitation si pleine de tendresse et d’amitié? Ne dites pas que vous n’en êtes pas dignes. C’est vrai, vous n’en êtes pas dignes, mais vous en avez besoin. Si Notre Seigneur avait en vue notre dignité, il n’aurait jamais institué son beau sacrement d’amour; car personne au monde n’en est digne, ni les saints, ni les anges, ni les archanges, ni la sainte Vierge. Mais il a eu en vue nos besoins, et nous en avons tous besoin. Ne dites pas que vous êtes pécheurs, que vous avez trop de misères et que c’est pour cela que vous n’osez pas en approcher. J’aimerais autant vous entendre dire que vous êtes trop malades, et que c’est pour cela que vous ne voulez pas de remède, que vous ne voulez pas appeler le médecin ».
« Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel: si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement ». Que notre bon Jésus nous accorde la grâce de le recevoir en communion de telle sorte qu’il nous communique la vie éternelle.
Dans ce dossier
Publié le 12 août 2024