Homélie pour le 5ème dimanche de Pâques 2016

L’amour commence chez soi… Il n’est pas toujours facile d’aimer ceux qui sont près de nous. Il est plus facile de donner un bol de riz pour soulager la faim que de soulager la solitude et la souffrance d’un être privé d’amour dans notre propre maison. Faites régner l’amour dans votre maison car c’est là que vous devez commencer à aimer


« Je vous donne un commandement nouveau : c’est de vous aimer les uns les autres. Comme je vous ai aimés, vous aussi aimez-vous les uns les autres ».

Ce commandement d’aimer les autres est la clause principale du Testament que nous a laissé le Christ. Si nous resituons le contexte dans lequel le Seigneur nous a donné ce commandement, nous en mesurons toute l’importance. Et c’est à la dernière Cène que Jésus nous pose cette exigence, le soir du Jeudi Saint, le Christ sait qu’il va mourir, alors Il nous fait ses ultimes recommandations. Et sa dernière volonté, c’est que nous nous aimions les uns les autres…

Le Seigneur nous dit que cet amour mutuel entre nous est le signe infaillible que nous sommes ses amis : « Ce qui montrera à tous les hommes que vous êtes mes disciples, c’est l’amour que vous aurez les uns pour les autres ». Les chrétiens des premiers siècles ont vécu cela intensément au milieu de la société païenne, à tel point que tous s’exclamaient en les voyant : « Regardez comme ils s’aiment ! »

A ce sujet écoutons la bienheureuse Mère Teresa (Dans le silence du cœur, p.41) : « L’amour doit venir de l’intérieur de nous-mêmes, de notre union avec le Christ. Aimer devrait nous être aussi naturel que vivre et respirer, jour après jour, jusqu’à notre mort. Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus a dit : « Quand j’agis et pense avec charité, je sens que c’est Jésus qui œuvre en moi. Plus je suis unie à Lui, plus j’aime les autres pensionnaires du carmel. » Pour comprendre cela et le pratiquer, il nous faut beaucoup prier, car la prière nous unit aux autres. Nos actions charitables ne sont rien d’autre que le trop plein de notre amour de Dieu ».

Le Seigneur nous enseigne comment aimer les autres. D’abord en voyant le Christ en eux : « Chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait ». (Mt 25, 40)
Ensuite, Jésus nous dit : « Aimez-vous les uns les autres, comme je vous ai aimé ». Et c’est ce qui fait que ce commandement est nouveau : le commandement d’aimer son prochain avait déjà été donné dans l’Ancien Testament (Lv 19,18) : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même ».

Mais Jésus nous a redonné ce commandement en se donnant comme modèle de cet amour. Il ne s’agit donc plus ici d’un amour naturel, j’aime ceux qui m’aiment, qui sont sympathiques et qui m’attirent, mais d un amour surélevé par la grâce, un amour surnaturel: la charité.

Et celui qui s’efforce d’obéir à ce commandement du Maître en est renouvelé intérieurement, ce commandement est effectivement nouveau pour lui. Le Christ se donne à nous comme exemple d’amour authentique des autres.
Et comment nous a-t-Il aimé? Avec une générosité infinie:« Il nous a aimés jusqu’à en mourir ». Sainte Thérèse de Lisieux nous dit (Poésie n°54): «aimer c’est tout donner et se donner soi-même ». Voilà le secret du véritable amour : se donner. L’amour qui ne pense qu’à prendre et à jouir de l’autre est égoïste. Saint Jean Paul II nous a souvent répété que le cœur de l’homme est fait pour se donner. C’est là le secret du vrai bonheur…

Jésus nous dit encore : « Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime» (Jn15, 13). Il y a bien des manières de donner sa vie. La plus spectaculaire est le martyr : quand on la donne d’un seul coup ; et la manière plus ordinaire : de la donner au goutte à goutte, chaque jour, dans le quotidien de nos existences : tous les parents qui aiment leurs enfants font cela.

Les évangiles nous rapportent cette phrase qui résume toute la vie du Christ : « Là où Il passait, Il faisait le bien » (Ac10, 38).

Voilà comment il faut aimer, en faisant du bien à tous. Donner de son argent est une excellente chose, mais cela n’est pas suffisant. Des parents qui se contenteraient de donner de l’argent à leurs enfants pour compenser le manque d’affection ou de temps donné, ce ne serait pas suffisant. Nous devons être capables de donner de notre personne, de nos compétences, de notre amitié, de notre sourire, de notre temps. Et cela coûte de se donner, parfois c’est facile, mais le plus souvent cela coûte ! « Il nous faut passer par bien des épreuves pour entrer dans le Royaume de Dieu ». Nous dit saint Paul (Ac14, 22).

Qui sont ces « autres » que Dieu nous demande d’aimer ? Ceux que nous côtoyons chaque jour. C’est « notre prochain » comme dit Jésus. Plus une personne m’est proche, plus je dois l’aimer. La charité doit être ordonnée, on ne peut pas aimer n’importe comment. Ca commence par notre famille, saint Paul a des paroles très sévères à ce sujet : « Si quelqu’un ne s’occupe pas des siens, surtout des plus proches, il a déjà renié la foi, il est pire qu’un incroyant » (1Tim5, 8).

Concluons en écoutant les paroles de Mère Teresa (Dans le silence du cœur, p.42,), elle qui pratiqua la charité de façon éminente : « Nos sœurs travaillent dans le monde entier, et j’ai vu toute la misère et toute la souffrance qui s’y trouvent. Comment cela est-il arrivé ? Cela est arrivé par manque d’amour et par manque de prières. On ne se retrouve plus en famille, pour prier, pour se rencontrer, pour être ensemble. L’amour commence chez soi… Il est facile d’aimer les hommes qui sont au loin. Il n’est pas toujours facile d’aimer ceux qui sont près de nous. Il est plus facile de donner un bol de riz pour soulager la faim que de soulager la solitude et la souffrance d’un être privé d’amour dans notre propre maison. Faites régner l’amour dans votre maison car c’est là que vous devez commencer à aimer».

Demandons à Dieu qu’Il nous fasse brûler de charité pour Lui et les uns pour les autres.

Ainsi-soit-il !

Publié le 24 avril 2016

Homélie pour le 5ème dimanche de Pâques 2016

L’amour commence chez soi… Il n’est pas toujours facile d’aimer ceux qui sont près de nous. Il est plus facile de donner un bol de riz pour soulager la faim que de soulager la solitude et la souffrance d’un être privé d’amour dans notre propre maison. Faites régner l’amour dans votre maison car c’est là que vous devez commencer à aimer


« Je vous donne un commandement nouveau : c’est de vous aimer les uns les autres. Comme je vous ai aimés, vous aussi aimez-vous les uns les autres ».

Ce commandement d’aimer les autres est la clause principale du Testament que nous a laissé le Christ. Si nous resituons le contexte dans lequel le Seigneur nous a donné ce commandement, nous en mesurons toute l’importance. Et c’est à la dernière Cène que Jésus nous pose cette exigence, le soir du Jeudi Saint, le Christ sait qu’il va mourir, alors Il nous fait ses ultimes recommandations. Et sa dernière volonté, c’est que nous nous aimions les uns les autres…

Le Seigneur nous dit que cet amour mutuel entre nous est le signe infaillible que nous sommes ses amis : « Ce qui montrera à tous les hommes que vous êtes mes disciples, c’est l’amour que vous aurez les uns pour les autres ». Les chrétiens des premiers siècles ont vécu cela intensément au milieu de la société païenne, à tel point que tous s’exclamaient en les voyant : « Regardez comme ils s’aiment ! »

A ce sujet écoutons la bienheureuse Mère Teresa (Dans le silence du cœur, p.41) : « L’amour doit venir de l’intérieur de nous-mêmes, de notre union avec le Christ. Aimer devrait nous être aussi naturel que vivre et respirer, jour après jour, jusqu’à notre mort. Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus a dit : « Quand j’agis et pense avec charité, je sens que c’est Jésus qui œuvre en moi. Plus je suis unie à Lui, plus j’aime les autres pensionnaires du carmel. » Pour comprendre cela et le pratiquer, il nous faut beaucoup prier, car la prière nous unit aux autres. Nos actions charitables ne sont rien d’autre que le trop plein de notre amour de Dieu ».

Le Seigneur nous enseigne comment aimer les autres. D’abord en voyant le Christ en eux : « Chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait ». (Mt 25, 40)
Ensuite, Jésus nous dit : « Aimez-vous les uns les autres, comme je vous ai aimé ». Et c’est ce qui fait que ce commandement est nouveau : le commandement d’aimer son prochain avait déjà été donné dans l’Ancien Testament (Lv 19,18) : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même ».

Mais Jésus nous a redonné ce commandement en se donnant comme modèle de cet amour. Il ne s’agit donc plus ici d’un amour naturel, j’aime ceux qui m’aiment, qui sont sympathiques et qui m’attirent, mais d un amour surélevé par la grâce, un amour surnaturel: la charité.

Et celui qui s’efforce d’obéir à ce commandement du Maître en est renouvelé intérieurement, ce commandement est effectivement nouveau pour lui. Le Christ se donne à nous comme exemple d’amour authentique des autres.
Et comment nous a-t-Il aimé? Avec une générosité infinie:« Il nous a aimés jusqu’à en mourir ». Sainte Thérèse de Lisieux nous dit (Poésie n°54): «aimer c’est tout donner et se donner soi-même ». Voilà le secret du véritable amour : se donner. L’amour qui ne pense qu’à prendre et à jouir de l’autre est égoïste. Saint Jean Paul II nous a souvent répété que le cœur de l’homme est fait pour se donner. C’est là le secret du vrai bonheur…

Jésus nous dit encore : « Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime» (Jn15, 13). Il y a bien des manières de donner sa vie. La plus spectaculaire est le martyr : quand on la donne d’un seul coup ; et la manière plus ordinaire : de la donner au goutte à goutte, chaque jour, dans le quotidien de nos existences : tous les parents qui aiment leurs enfants font cela.

Les évangiles nous rapportent cette phrase qui résume toute la vie du Christ : « Là où Il passait, Il faisait le bien » (Ac10, 38).

Voilà comment il faut aimer, en faisant du bien à tous. Donner de son argent est une excellente chose, mais cela n’est pas suffisant. Des parents qui se contenteraient de donner de l’argent à leurs enfants pour compenser le manque d’affection ou de temps donné, ce ne serait pas suffisant. Nous devons être capables de donner de notre personne, de nos compétences, de notre amitié, de notre sourire, de notre temps. Et cela coûte de se donner, parfois c’est facile, mais le plus souvent cela coûte ! « Il nous faut passer par bien des épreuves pour entrer dans le Royaume de Dieu ». Nous dit saint Paul (Ac14, 22).

Qui sont ces « autres » que Dieu nous demande d’aimer ? Ceux que nous côtoyons chaque jour. C’est « notre prochain » comme dit Jésus. Plus une personne m’est proche, plus je dois l’aimer. La charité doit être ordonnée, on ne peut pas aimer n’importe comment. Ca commence par notre famille, saint Paul a des paroles très sévères à ce sujet : « Si quelqu’un ne s’occupe pas des siens, surtout des plus proches, il a déjà renié la foi, il est pire qu’un incroyant » (1Tim5, 8).

Concluons en écoutant les paroles de Mère Teresa (Dans le silence du cœur, p.42,), elle qui pratiqua la charité de façon éminente : « Nos sœurs travaillent dans le monde entier, et j’ai vu toute la misère et toute la souffrance qui s’y trouvent. Comment cela est-il arrivé ? Cela est arrivé par manque d’amour et par manque de prières. On ne se retrouve plus en famille, pour prier, pour se rencontrer, pour être ensemble. L’amour commence chez soi… Il est facile d’aimer les hommes qui sont au loin. Il n’est pas toujours facile d’aimer ceux qui sont près de nous. Il est plus facile de donner un bol de riz pour soulager la faim que de soulager la solitude et la souffrance d’un être privé d’amour dans notre propre maison. Faites régner l’amour dans votre maison car c’est là que vous devez commencer à aimer».

Demandons à Dieu qu’Il nous fasse brûler de charité pour Lui et les uns pour les autres.

Ainsi-soit-il !

Publié le 24 avril 2016

Homélie pour le 5ème dimanche de Pâques 2016

L’amour commence chez soi… Il n’est pas toujours facile d’aimer ceux qui sont près de nous. Il est plus facile de donner un bol de riz pour soulager la faim que de soulager la solitude et la souffrance d’un être privé d’amour dans notre propre maison. Faites régner l’amour dans votre maison car c’est là que vous devez commencer à aimer


« Je vous donne un commandement nouveau : c’est de vous aimer les uns les autres. Comme je vous ai aimés, vous aussi aimez-vous les uns les autres ».

Ce commandement d’aimer les autres est la clause principale du Testament que nous a laissé le Christ. Si nous resituons le contexte dans lequel le Seigneur nous a donné ce commandement, nous en mesurons toute l’importance. Et c’est à la dernière Cène que Jésus nous pose cette exigence, le soir du Jeudi Saint, le Christ sait qu’il va mourir, alors Il nous fait ses ultimes recommandations. Et sa dernière volonté, c’est que nous nous aimions les uns les autres…

Le Seigneur nous dit que cet amour mutuel entre nous est le signe infaillible que nous sommes ses amis : « Ce qui montrera à tous les hommes que vous êtes mes disciples, c’est l’amour que vous aurez les uns pour les autres ». Les chrétiens des premiers siècles ont vécu cela intensément au milieu de la société païenne, à tel point que tous s’exclamaient en les voyant : « Regardez comme ils s’aiment ! »

A ce sujet écoutons la bienheureuse Mère Teresa (Dans le silence du cœur, p.41) : « L’amour doit venir de l’intérieur de nous-mêmes, de notre union avec le Christ. Aimer devrait nous être aussi naturel que vivre et respirer, jour après jour, jusqu’à notre mort. Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus a dit : « Quand j’agis et pense avec charité, je sens que c’est Jésus qui œuvre en moi. Plus je suis unie à Lui, plus j’aime les autres pensionnaires du carmel. » Pour comprendre cela et le pratiquer, il nous faut beaucoup prier, car la prière nous unit aux autres. Nos actions charitables ne sont rien d’autre que le trop plein de notre amour de Dieu ».

Le Seigneur nous enseigne comment aimer les autres. D’abord en voyant le Christ en eux : « Chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait ». (Mt 25, 40)
Ensuite, Jésus nous dit : « Aimez-vous les uns les autres, comme je vous ai aimé ». Et c’est ce qui fait que ce commandement est nouveau : le commandement d’aimer son prochain avait déjà été donné dans l’Ancien Testament (Lv 19,18) : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même ».

Mais Jésus nous a redonné ce commandement en se donnant comme modèle de cet amour. Il ne s’agit donc plus ici d’un amour naturel, j’aime ceux qui m’aiment, qui sont sympathiques et qui m’attirent, mais d un amour surélevé par la grâce, un amour surnaturel: la charité.

Et celui qui s’efforce d’obéir à ce commandement du Maître en est renouvelé intérieurement, ce commandement est effectivement nouveau pour lui. Le Christ se donne à nous comme exemple d’amour authentique des autres.
Et comment nous a-t-Il aimé? Avec une générosité infinie:« Il nous a aimés jusqu’à en mourir ». Sainte Thérèse de Lisieux nous dit (Poésie n°54): «aimer c’est tout donner et se donner soi-même ». Voilà le secret du véritable amour : se donner. L’amour qui ne pense qu’à prendre et à jouir de l’autre est égoïste. Saint Jean Paul II nous a souvent répété que le cœur de l’homme est fait pour se donner. C’est là le secret du vrai bonheur…

Jésus nous dit encore : « Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime» (Jn15, 13). Il y a bien des manières de donner sa vie. La plus spectaculaire est le martyr : quand on la donne d’un seul coup ; et la manière plus ordinaire : de la donner au goutte à goutte, chaque jour, dans le quotidien de nos existences : tous les parents qui aiment leurs enfants font cela.

Les évangiles nous rapportent cette phrase qui résume toute la vie du Christ : « Là où Il passait, Il faisait le bien » (Ac10, 38).

Voilà comment il faut aimer, en faisant du bien à tous. Donner de son argent est une excellente chose, mais cela n’est pas suffisant. Des parents qui se contenteraient de donner de l’argent à leurs enfants pour compenser le manque d’affection ou de temps donné, ce ne serait pas suffisant. Nous devons être capables de donner de notre personne, de nos compétences, de notre amitié, de notre sourire, de notre temps. Et cela coûte de se donner, parfois c’est facile, mais le plus souvent cela coûte ! « Il nous faut passer par bien des épreuves pour entrer dans le Royaume de Dieu ». Nous dit saint Paul (Ac14, 22).

Qui sont ces « autres » que Dieu nous demande d’aimer ? Ceux que nous côtoyons chaque jour. C’est « notre prochain » comme dit Jésus. Plus une personne m’est proche, plus je dois l’aimer. La charité doit être ordonnée, on ne peut pas aimer n’importe comment. Ca commence par notre famille, saint Paul a des paroles très sévères à ce sujet : « Si quelqu’un ne s’occupe pas des siens, surtout des plus proches, il a déjà renié la foi, il est pire qu’un incroyant » (1Tim5, 8).

Concluons en écoutant les paroles de Mère Teresa (Dans le silence du cœur, p.42,), elle qui pratiqua la charité de façon éminente : « Nos sœurs travaillent dans le monde entier, et j’ai vu toute la misère et toute la souffrance qui s’y trouvent. Comment cela est-il arrivé ? Cela est arrivé par manque d’amour et par manque de prières. On ne se retrouve plus en famille, pour prier, pour se rencontrer, pour être ensemble. L’amour commence chez soi… Il est facile d’aimer les hommes qui sont au loin. Il n’est pas toujours facile d’aimer ceux qui sont près de nous. Il est plus facile de donner un bol de riz pour soulager la faim que de soulager la solitude et la souffrance d’un être privé d’amour dans notre propre maison. Faites régner l’amour dans votre maison car c’est là que vous devez commencer à aimer».

Demandons à Dieu qu’Il nous fasse brûler de charité pour Lui et les uns pour les autres.

Ainsi-soit-il !

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Publié le 24 avril 2016