Homélie pour le 4ème dimanche de Pâques, du bon Pasteur 2016
C’est le rôle du Pape, des évêques et des prêtres de nous expliquer la Parole de Dieu et de nous aider à la mettre concrètement en pratique dans nos vies.
«Je suis le bon pasteur» , dit le Seigneur. Qu’il nous est bon de contempler Jésus, visage de la Miséricorde de Dieu faite homme, se présenter à nous sous les traits du Bon Berger. Comme il nous est doux d’entendre cet évangile où le Christ nous dit comme Il prend soin de ses brebis. « Mes brebis écoutent ma voix ; moi, je les connais, et elles me suivent».
La question cruciale pour chacun de nous est de savoir si effectivement nous faisons partie des brebis du Christ.
Pour bien comprendre la Parole de Dieu, il faut la lire comme la Tradition de l’Eglise l’a toujours lue. Saint Cyrille d’Alexandrie nous dit que la marque distinctive des brebis du Christ, c’est leur aptitude à écouter, à obéir, tandis que les brebis étrangères se distinguent par leur indocilité. Ecouter la voix du Maître veut dire : consentir à ce qui a été dit, le faire sien. Nous écoutons Dieu en nous nourrissant de Sa Parole, en écoutant les enseignements de l’Eglise, en obéissant à son Magistère, et également en suivant la voix de notre conscience. Les trois sont nécessaires, la Parole sans l’Eglise peut être mal interprétée et la conscience être déformée.
Ceux qui écoutent le Seigneur sont connus de Dieu, car, comme l’explique Saint Grégoire le Grand,« être connu » signifie être uni à lui de la manière la plus profonde, c’est-à-dire par l’amour. Il n’y a personne qui soit entièrement ignoré de Dieu. Donc, lorsque le Christ dit : « Je connais mes brebis », il veut dire : Je les accueillerai et Je les unirai à moi d’une façon mystique et permanente. On peut dire que tous les hommes sont unis au Christ en raison de son incarnation. Mais ceux qui ne gardent pas la ressemblance avec la sainteté du Christ lui sont devenus étrangers.
« Mes brebis me suivent. » En effet, par la grâce divine les croyants suivent les pas du Christ. En suivant le Christ par la grâce ses commandements, Il les élève jusqu’à Lui, conformément à leur vocation d’enfants de Dieu. Quand le Christ monte au ciel, ils le suivent jusque-là.
Le Christ aime ses brebis, Il en prend soin. Il sait quels sont leurs besoins à chacune et Il s’en occupe personnellement avec la plus grande attention, comme si chacune était unique et qu’Il n’avait qu’elle à soigner, sans pour autant négliger le reste du troupeau. En l’écoutant nous sommes sûrs de ne pas nous tromper, en le suivant nous sommes sûrs de ne pas nous égarer.
«Mes brebis… Je leur donne la vie éternelle. » Par la grâce des sacrements, Jésus nous donne sa vie divine, la vie de la grâce, elle qui nous rends heureux et nous donne la joie de Dieu. Nous n’allons pas n’importe où, nous savons où nous allons. Jésus nous conduit sur la route qui nous mène au Ciel.
« … personne ne les arrachera de ma main. » Jésus nous protège de tous les dangers, avec Lui nous sommes en sécurité, ayons pleine confiance en Lui.
Si nous sommes les brebis du Christ (ce que j’espère pour chacun de nous !), nous connaissons le drame de ses brebis. Nous connaissons la bonté du Berger, nous en avons fait l’expérience, mais bien souvent nous trouvons difficile de suivre ce Berger exigeant, parce qu’il veut ce qu’il y a de meilleur pour nous, Lui qui nous fait passer par un chemin resserré, celui des commandements. Notre drame, c’est la tentation de la facilité, de nous arrêter brouter sur le bord du chemin, par la facilité, de nous laisser attirer par des eaux frelatées (film que tout le monde va voir, ou roman que tout le monde lit, par exemple), en voulant aller boire et manger où tout le monde va boire et manger. Face à ces tentations quotidiennes, il nous faut constamment nous tourner vers le bon Berger, le contempler, le regarder avec amour. Nous rappeler continuellement sa promesse de nous donner la vraie vie, la vie éternelle (la vie en abondance, la vie en plénitude Jn 10,10).
Quand le chemin nous parait trop difficile, quand nous sentons le découragement nous gagner, quand nous n’en pouvons plus. Souvenons-nous de l’histoire que Jésus nous a raconté, celle de la brebis perdue et faisons comme elle : allons nous jeter dans ses bras par la prière, avec une immense confiance en son amour pour nous. C’est ce que font les petits enfants quand ils sont fatigués de marcher, ils vont voir leur père qui les prend sur leur dos. Souvenons-nous de ses paroles : « Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi je vous procurerai le repos. » (Mt 11,28)
En ce dimanche du bon Pasteur, nous sommes invités à « prier le Maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson » (Mt 9,37-38). La grâce des prêtres est d’être conformés au Christ bon Pasteur.
Pour comprendre ce que nous apportent les prêtres par leur ministère, nous écoutions à la messe de jeudi dernier la lecture de ce passage du livre des Actes des Apôtres où l’ange du Seigneur demande à Philippe (non pas l’apôtre, mais l’un des 7 diacres) de prendre la route qui descend de Jérusalem à Gaza. Il y rencontre un eunuque, haut fonctionnaire de Candace, la reine d’Éthiopie, assis sur son char.
L’Esprit dit à Philippe : « Approche, et rejoins ce char ». Philippe se mit à courir et il entendit l’homme qui lisait le prophète Isaïe ; alors il lui demanda : « Comprends-tu ce que tu lis ? » L’autre lui répondit : « Et comment le pourrais-je s’il n’y a personne pour me guider ? » C’est le rôle du Pape, des évêques et des prêtres de nous expliquer la Parole de Dieu et de nous aider à la mettre concrètement en pratique dans nos vies.
Nous sommes des êtres sensibles : nous aimons voir, toucher, entendre. Alors dans sa miséricorde le Christ a donné aux prêtres ses pouvoirs : celui de pardonner, et nous avons besoin d’entendre cette parole : « Je te pardonne tous tes péchés… », et celui de distribuer son corps et son sang.
Prions le Maître de la moisson d’envoyer des ouvriers à sa moisson et prions pour que tous les prêtres soient heureux dans leur ministère.
Ainsi-soit-il !
Publié le 17 avril 2016
Homélie pour le 4ème dimanche de Pâques, du bon Pasteur 2016
C’est le rôle du Pape, des évêques et des prêtres de nous expliquer la Parole de Dieu et de nous aider à la mettre concrètement en pratique dans nos vies.
«Je suis le bon pasteur» , dit le Seigneur. Qu’il nous est bon de contempler Jésus, visage de la Miséricorde de Dieu faite homme, se présenter à nous sous les traits du Bon Berger. Comme il nous est doux d’entendre cet évangile où le Christ nous dit comme Il prend soin de ses brebis. « Mes brebis écoutent ma voix ; moi, je les connais, et elles me suivent».
La question cruciale pour chacun de nous est de savoir si effectivement nous faisons partie des brebis du Christ.
Pour bien comprendre la Parole de Dieu, il faut la lire comme la Tradition de l’Eglise l’a toujours lue. Saint Cyrille d’Alexandrie nous dit que la marque distinctive des brebis du Christ, c’est leur aptitude à écouter, à obéir, tandis que les brebis étrangères se distinguent par leur indocilité. Ecouter la voix du Maître veut dire : consentir à ce qui a été dit, le faire sien. Nous écoutons Dieu en nous nourrissant de Sa Parole, en écoutant les enseignements de l’Eglise, en obéissant à son Magistère, et également en suivant la voix de notre conscience. Les trois sont nécessaires, la Parole sans l’Eglise peut être mal interprétée et la conscience être déformée.
Ceux qui écoutent le Seigneur sont connus de Dieu, car, comme l’explique Saint Grégoire le Grand,« être connu » signifie être uni à lui de la manière la plus profonde, c’est-à-dire par l’amour. Il n’y a personne qui soit entièrement ignoré de Dieu. Donc, lorsque le Christ dit : « Je connais mes brebis », il veut dire : Je les accueillerai et Je les unirai à moi d’une façon mystique et permanente. On peut dire que tous les hommes sont unis au Christ en raison de son incarnation. Mais ceux qui ne gardent pas la ressemblance avec la sainteté du Christ lui sont devenus étrangers.
« Mes brebis me suivent. » En effet, par la grâce divine les croyants suivent les pas du Christ. En suivant le Christ par la grâce ses commandements, Il les élève jusqu’à Lui, conformément à leur vocation d’enfants de Dieu. Quand le Christ monte au ciel, ils le suivent jusque-là.
Le Christ aime ses brebis, Il en prend soin. Il sait quels sont leurs besoins à chacune et Il s’en occupe personnellement avec la plus grande attention, comme si chacune était unique et qu’Il n’avait qu’elle à soigner, sans pour autant négliger le reste du troupeau. En l’écoutant nous sommes sûrs de ne pas nous tromper, en le suivant nous sommes sûrs de ne pas nous égarer.
«Mes brebis… Je leur donne la vie éternelle. » Par la grâce des sacrements, Jésus nous donne sa vie divine, la vie de la grâce, elle qui nous rends heureux et nous donne la joie de Dieu. Nous n’allons pas n’importe où, nous savons où nous allons. Jésus nous conduit sur la route qui nous mène au Ciel.
« … personne ne les arrachera de ma main. » Jésus nous protège de tous les dangers, avec Lui nous sommes en sécurité, ayons pleine confiance en Lui.
Si nous sommes les brebis du Christ (ce que j’espère pour chacun de nous !), nous connaissons le drame de ses brebis. Nous connaissons la bonté du Berger, nous en avons fait l’expérience, mais bien souvent nous trouvons difficile de suivre ce Berger exigeant, parce qu’il veut ce qu’il y a de meilleur pour nous, Lui qui nous fait passer par un chemin resserré, celui des commandements. Notre drame, c’est la tentation de la facilité, de nous arrêter brouter sur le bord du chemin, par la facilité, de nous laisser attirer par des eaux frelatées (film que tout le monde va voir, ou roman que tout le monde lit, par exemple), en voulant aller boire et manger où tout le monde va boire et manger. Face à ces tentations quotidiennes, il nous faut constamment nous tourner vers le bon Berger, le contempler, le regarder avec amour. Nous rappeler continuellement sa promesse de nous donner la vraie vie, la vie éternelle (la vie en abondance, la vie en plénitude Jn 10,10).
Quand le chemin nous parait trop difficile, quand nous sentons le découragement nous gagner, quand nous n’en pouvons plus. Souvenons-nous de l’histoire que Jésus nous a raconté, celle de la brebis perdue et faisons comme elle : allons nous jeter dans ses bras par la prière, avec une immense confiance en son amour pour nous. C’est ce que font les petits enfants quand ils sont fatigués de marcher, ils vont voir leur père qui les prend sur leur dos. Souvenons-nous de ses paroles : « Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi je vous procurerai le repos. » (Mt 11,28)
En ce dimanche du bon Pasteur, nous sommes invités à « prier le Maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson » (Mt 9,37-38). La grâce des prêtres est d’être conformés au Christ bon Pasteur.
Pour comprendre ce que nous apportent les prêtres par leur ministère, nous écoutions à la messe de jeudi dernier la lecture de ce passage du livre des Actes des Apôtres où l’ange du Seigneur demande à Philippe (non pas l’apôtre, mais l’un des 7 diacres) de prendre la route qui descend de Jérusalem à Gaza. Il y rencontre un eunuque, haut fonctionnaire de Candace, la reine d’Éthiopie, assis sur son char.
L’Esprit dit à Philippe : « Approche, et rejoins ce char ». Philippe se mit à courir et il entendit l’homme qui lisait le prophète Isaïe ; alors il lui demanda : « Comprends-tu ce que tu lis ? » L’autre lui répondit : « Et comment le pourrais-je s’il n’y a personne pour me guider ? » C’est le rôle du Pape, des évêques et des prêtres de nous expliquer la Parole de Dieu et de nous aider à la mettre concrètement en pratique dans nos vies.
Nous sommes des êtres sensibles : nous aimons voir, toucher, entendre. Alors dans sa miséricorde le Christ a donné aux prêtres ses pouvoirs : celui de pardonner, et nous avons besoin d’entendre cette parole : « Je te pardonne tous tes péchés… », et celui de distribuer son corps et son sang.
Prions le Maître de la moisson d’envoyer des ouvriers à sa moisson et prions pour que tous les prêtres soient heureux dans leur ministère.
Ainsi-soit-il !
Publié le 17 avril 2016
Homélie pour le 4ème dimanche de Pâques, du bon Pasteur 2016
C’est le rôle du Pape, des évêques et des prêtres de nous expliquer la Parole de Dieu et de nous aider à la mettre concrètement en pratique dans nos vies.
«Je suis le bon pasteur» , dit le Seigneur. Qu’il nous est bon de contempler Jésus, visage de la Miséricorde de Dieu faite homme, se présenter à nous sous les traits du Bon Berger. Comme il nous est doux d’entendre cet évangile où le Christ nous dit comme Il prend soin de ses brebis. « Mes brebis écoutent ma voix ; moi, je les connais, et elles me suivent».
La question cruciale pour chacun de nous est de savoir si effectivement nous faisons partie des brebis du Christ.
Pour bien comprendre la Parole de Dieu, il faut la lire comme la Tradition de l’Eglise l’a toujours lue. Saint Cyrille d’Alexandrie nous dit que la marque distinctive des brebis du Christ, c’est leur aptitude à écouter, à obéir, tandis que les brebis étrangères se distinguent par leur indocilité. Ecouter la voix du Maître veut dire : consentir à ce qui a été dit, le faire sien. Nous écoutons Dieu en nous nourrissant de Sa Parole, en écoutant les enseignements de l’Eglise, en obéissant à son Magistère, et également en suivant la voix de notre conscience. Les trois sont nécessaires, la Parole sans l’Eglise peut être mal interprétée et la conscience être déformée.
Ceux qui écoutent le Seigneur sont connus de Dieu, car, comme l’explique Saint Grégoire le Grand,« être connu » signifie être uni à lui de la manière la plus profonde, c’est-à-dire par l’amour. Il n’y a personne qui soit entièrement ignoré de Dieu. Donc, lorsque le Christ dit : « Je connais mes brebis », il veut dire : Je les accueillerai et Je les unirai à moi d’une façon mystique et permanente. On peut dire que tous les hommes sont unis au Christ en raison de son incarnation. Mais ceux qui ne gardent pas la ressemblance avec la sainteté du Christ lui sont devenus étrangers.
« Mes brebis me suivent. » En effet, par la grâce divine les croyants suivent les pas du Christ. En suivant le Christ par la grâce ses commandements, Il les élève jusqu’à Lui, conformément à leur vocation d’enfants de Dieu. Quand le Christ monte au ciel, ils le suivent jusque-là.
Le Christ aime ses brebis, Il en prend soin. Il sait quels sont leurs besoins à chacune et Il s’en occupe personnellement avec la plus grande attention, comme si chacune était unique et qu’Il n’avait qu’elle à soigner, sans pour autant négliger le reste du troupeau. En l’écoutant nous sommes sûrs de ne pas nous tromper, en le suivant nous sommes sûrs de ne pas nous égarer.
«Mes brebis… Je leur donne la vie éternelle. » Par la grâce des sacrements, Jésus nous donne sa vie divine, la vie de la grâce, elle qui nous rends heureux et nous donne la joie de Dieu. Nous n’allons pas n’importe où, nous savons où nous allons. Jésus nous conduit sur la route qui nous mène au Ciel.
« … personne ne les arrachera de ma main. » Jésus nous protège de tous les dangers, avec Lui nous sommes en sécurité, ayons pleine confiance en Lui.
Si nous sommes les brebis du Christ (ce que j’espère pour chacun de nous !), nous connaissons le drame de ses brebis. Nous connaissons la bonté du Berger, nous en avons fait l’expérience, mais bien souvent nous trouvons difficile de suivre ce Berger exigeant, parce qu’il veut ce qu’il y a de meilleur pour nous, Lui qui nous fait passer par un chemin resserré, celui des commandements. Notre drame, c’est la tentation de la facilité, de nous arrêter brouter sur le bord du chemin, par la facilité, de nous laisser attirer par des eaux frelatées (film que tout le monde va voir, ou roman que tout le monde lit, par exemple), en voulant aller boire et manger où tout le monde va boire et manger. Face à ces tentations quotidiennes, il nous faut constamment nous tourner vers le bon Berger, le contempler, le regarder avec amour. Nous rappeler continuellement sa promesse de nous donner la vraie vie, la vie éternelle (la vie en abondance, la vie en plénitude Jn 10,10).
Quand le chemin nous parait trop difficile, quand nous sentons le découragement nous gagner, quand nous n’en pouvons plus. Souvenons-nous de l’histoire que Jésus nous a raconté, celle de la brebis perdue et faisons comme elle : allons nous jeter dans ses bras par la prière, avec une immense confiance en son amour pour nous. C’est ce que font les petits enfants quand ils sont fatigués de marcher, ils vont voir leur père qui les prend sur leur dos. Souvenons-nous de ses paroles : « Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi je vous procurerai le repos. » (Mt 11,28)
En ce dimanche du bon Pasteur, nous sommes invités à « prier le Maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson » (Mt 9,37-38). La grâce des prêtres est d’être conformés au Christ bon Pasteur.
Pour comprendre ce que nous apportent les prêtres par leur ministère, nous écoutions à la messe de jeudi dernier la lecture de ce passage du livre des Actes des Apôtres où l’ange du Seigneur demande à Philippe (non pas l’apôtre, mais l’un des 7 diacres) de prendre la route qui descend de Jérusalem à Gaza. Il y rencontre un eunuque, haut fonctionnaire de Candace, la reine d’Éthiopie, assis sur son char.
L’Esprit dit à Philippe : « Approche, et rejoins ce char ». Philippe se mit à courir et il entendit l’homme qui lisait le prophète Isaïe ; alors il lui demanda : « Comprends-tu ce que tu lis ? » L’autre lui répondit : « Et comment le pourrais-je s’il n’y a personne pour me guider ? » C’est le rôle du Pape, des évêques et des prêtres de nous expliquer la Parole de Dieu et de nous aider à la mettre concrètement en pratique dans nos vies.
Nous sommes des êtres sensibles : nous aimons voir, toucher, entendre. Alors dans sa miséricorde le Christ a donné aux prêtres ses pouvoirs : celui de pardonner, et nous avons besoin d’entendre cette parole : « Je te pardonne tous tes péchés… », et celui de distribuer son corps et son sang.
Prions le Maître de la moisson d’envoyer des ouvriers à sa moisson et prions pour que tous les prêtres soient heureux dans leur ministère.
Ainsi-soit-il !
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Publié le 17 avril 2016